Critique BD Le reste du monde #2
7
Le reste du monde
par vedge le mar. 11 oct. 2016 Staff
Deuxième tome du diptyque de la mini-série « Le reste du monde » ce tome termine en apothéose post-apocalyptique une récit dense, un dérèglement de la nature et des sens.
Il y a un peu de « The road » dans ce périple douloureux entrepris par une mère et ses enfants.
Après une terrible série de tremblements de terre qui ont fait céder les barrages, les infrastructures et les moyens de communication, la France, au moins pour la partie ou cette famille passait des vacances, est en proie à la désolation ; Dérèglement climatiques, hordes d’hommes prêts à tout, il faut bien du courage, de la prudence et de la ténacité pour survivre dans cet enfer.
Le dessin, en contradiction peut-être avec la sauvagerie du monde et des gens se fait plus doux dans ce deuxième tome, pour sublimer les paysages fantasmagoriques, que traversent parfois d’improbables animaux échappés de quelques cirques.
On lit sur les visages, au fur et à mesure, la faiblesse et l’abattement.
Chaque bonne nouvelle se voit suivie d’une nouvelle descente aux enfers.
Et aux enfers, cette famille matriarcale semble y être réellement descendu.
Sauvage récit en tension permanente, il ne fait pas bon vivre dans « le monde d’après ».
Il y a un peu de « The road » dans ce périple douloureux entrepris par une mère et ses enfants.
Après une terrible série de tremblements de terre qui ont fait céder les barrages, les infrastructures et les moyens de communication, la France, au moins pour la partie ou cette famille passait des vacances, est en proie à la désolation ; Dérèglement climatiques, hordes d’hommes prêts à tout, il faut bien du courage, de la prudence et de la ténacité pour survivre dans cet enfer.
Le dessin, en contradiction peut-être avec la sauvagerie du monde et des gens se fait plus doux dans ce deuxième tome, pour sublimer les paysages fantasmagoriques, que traversent parfois d’improbables animaux échappés de quelques cirques.
On lit sur les visages, au fur et à mesure, la faiblesse et l’abattement.
Chaque bonne nouvelle se voit suivie d’une nouvelle descente aux enfers.
Et aux enfers, cette famille matriarcale semble y être réellement descendu.
Sauvage récit en tension permanente, il ne fait pas bon vivre dans « le monde d’après ».
En bref
7
Le reste du monde
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