Critique Manga Tales of Destiny #5

Afin de parvenir sur Dycroft, l’île flottante qui contient Belcrant, l’arme utilisant l’œil de dieu et dont se sert Hugo pour détruire le monde, Stan et ses compagnons se dirige vers Radisrol, la cité souterraine où était conservé Clemente, le Swordian de Philia.

Arrivés à Radisrol, nos héros se rendent compte que cette cité souterraine cache en fait un vaisseau qui devrait leur permettre d’atteindre Dycroft sans problèmes. Mais la cité flottante est protégée par un puissant bouclier qui met hors d’état Radisrol !! Nos héros n’ont d’autres choix que de désactiver ce bouclier, ce qui va les amener à revoir d’anciennes connaissances, fidèles à Hugo…

La dernière ligne droite de Tales of Destiny est lancée avec ce 5èem et avant-dernier tome de la série. Et rien de bien nouveau dans le titre de Shinki Kitsutsuki. En effet, le scénario est toujours aussi plat et les rares « rebondissements » n’en sont pas vraiment tant ils étaient prévisibles depuis longtemps. Et alors qu’un semblant de renouveau se faisait sentir via quelques scènes de qualité (Stan/Ilene notamment), le volume se termine par un long, très long, très très long combat entre les Swordian Masters et Hugo, sans le moindre dynamisme et d’un ennui terrible. Et quand on sait que le combat n’est pas encore fini… Bref, malgré du mieux par moment, la série ne décolle pas et demeure un léger divertissement, guère passionnant.

Avant-dernier volume de la série, ce 5ème opus de Tales of Destiny est conforme au reste de la série, à savoir plat et sans réel intérêt, avec qui plus est un combat d’un ennui extrême. Plus qu’un volume, en espérant une fin un peu plus rythmée. C’est pas gagné.