Critique Manga Akuma to Love Song #4

8
Akuma to Love Song

par opaline le ven. 24 févr. 2012 Staff

Avec ce quatrième volume, la série garde tout le mordant dont elle a su faire preuve jusqu’ici et c'est avec enthousiasme que l’on entame sa lecture.

Maria aura fort à faire dans ce tome mais elle gardera la tête haute malgré un climat des plus hostile. La romance se développe un peu plus et on sent un rapprochement certain avec Megu. Cela risque bien de se développer un peu plus par la suite.
On en apprend aussi plus sur son passé et sur ce qui la pousse à vouloir changer, mais tout cela n’est qu’une amorce et l’on attend avec impatience de découvrir dans les détails ce qui a pu lui arriver dans son ancienne école, mais aussi dans sa vie familiale afin de connaître ce qui a fait d’elle une paria, mais aussi une jeune fille candide qui ne peut s’empêcher de sortir la vérité toute crue sans réfléchir.
Seul son personnage reste le plus développé et on ne connaît quasiment rien des autres protagonistes de l'histoire, cela ne pose pas de soucis pour le moment, mais il faudrait quand même que l'auteur développe de manière un peu plus approfondie son entourage afin de donner une dimension plus réaliste et encore plus intéressante à l'histoire.

Le personnage d’Hana quant à elle, aura su révéler un nouvel aspect de l'héroïne et cela lui permet ainsi de s’intégrer un peu plus dans sa classe. Les masques tombent dans ce tome et un changement semble se mettre en marche pour l’avenir social de Maria.

Nous n'en sommes pour le moment qu'au tiers de la série et on sent qu'il s'agit d'un tournant de l'histoire. Le passé de Maria va sûrement resurgir et chambouler toutes les choses positives qui commençaient à lui arriver. Pas mal de suspense en perspective à venir donc !

Akuma to love song fait parti de ces rares séries à pouvoir emporter son lecteur avec facilité et c'est donc avec avidité que l'on attend le prochain tome.

En bref

8
Akuma to Love Song
opaline Suivre opaline Toutes ses critiques (800)
Partager :
Commentaires sur cette critique (0)
Laissez un commentaire