Critique Manga La chenille
8
La chenille
par yeong le mar. 2 avril 2013 Staff
Avis personnel :
Aspect : Un format (25*18), une couverture sobre assez bizarre annonçant le genre. Un résumé du tome à la première page. Le manga fait près de 150 pages. Un mot d'explication de la part de la traductrice.
Dessin : Au niveau des graphisme, le style de Suehiro Maruo est très plaisant. Le dessin est très réaliste que ce soit au niveau des personnages et du décors. Le découpages des cases est parfaitement géré. Par son trait fin et prompt aux détails gores, Maruo ne recule devant rien (il n'y a aucune censure aussi).
Scénario : Encore de l'ero-guro (érotico-grotesque) initié par le romancier Ranpo dans le texte d?origine (Edogawa Ranpo est auteur de romans).
Comme à son habitude, Maruo retranscrit fort bien les idées principales de Ranpo (la question du corps, de son importance sociale, et de la façon de l?utiliser au-delà des normes admises).
Ainsi, Toriko utilise les relations sexuelles comme seul moyen de communication avec son mari .
A mesure que l'histoire progresse, les ébats deviennent de plus en plus pervers et sadiques. Du sentiment de pitié, Tokiko est passée à celui de dégout. Sans oublier le désir. Car si son mari arrive à la dégoutter ce n'est pas pour autant qu'elle ne le désire plus. Ces relations souvent brutales sont dominés par la femme (suite à la situation de notre homme-tronc).
Conclusion : Maruo compose un quasi huis-clos audacieux et dérangeant. À découvrir, mais à ne pas mettre entre toutes les mains non plus.
Aspect : Un format (25*18), une couverture sobre assez bizarre annonçant le genre. Un résumé du tome à la première page. Le manga fait près de 150 pages. Un mot d'explication de la part de la traductrice.
Dessin : Au niveau des graphisme, le style de Suehiro Maruo est très plaisant. Le dessin est très réaliste que ce soit au niveau des personnages et du décors. Le découpages des cases est parfaitement géré. Par son trait fin et prompt aux détails gores, Maruo ne recule devant rien (il n'y a aucune censure aussi).
Scénario : Encore de l'ero-guro (érotico-grotesque) initié par le romancier Ranpo dans le texte d?origine (Edogawa Ranpo est auteur de romans).
Comme à son habitude, Maruo retranscrit fort bien les idées principales de Ranpo (la question du corps, de son importance sociale, et de la façon de l?utiliser au-delà des normes admises).
Ainsi, Toriko utilise les relations sexuelles comme seul moyen de communication avec son mari .
A mesure que l'histoire progresse, les ébats deviennent de plus en plus pervers et sadiques. Du sentiment de pitié, Tokiko est passée à celui de dégout. Sans oublier le désir. Car si son mari arrive à la dégoutter ce n'est pas pour autant qu'elle ne le désire plus. Ces relations souvent brutales sont dominés par la femme (suite à la situation de notre homme-tronc).
Conclusion : Maruo compose un quasi huis-clos audacieux et dérangeant. À découvrir, mais à ne pas mettre entre toutes les mains non plus.
En bref
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La chenille
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