Critique Manga Affair

10
Affair

par Thanael le lun. 25 mai 1970

Affair est un bon exemple de ce que l’œuvre de Shiuko Kano peut donner, avec des histoires courtes des différents style que l’auteur aime développer.

*Affair* voit la rencontre, des années après leur séparation à la fin du lycée de l’ex-star de l’équipe de base-ball de l’école et du Kouhai qu’il avait séduit et aimait manipuler à l’époque. Maintenant que leur position sont différentes, comment leur relation va-t-elle évoluer ?

*My dear mad dog* est beaucoup plus noir que l’histoire précédente. Voilà un exemple de ce que Shiuko Kano peut donner de pire en histoire dure et difficile. Je suis incapable de la relire une seconde fois. Il s’agit d’une lutte de pouvoir entre deux demi frères, descendants d’une famille yakuza. Qui va hériter du titre de grand patron ? Intrigue, viole manipulation et inceste au menu…

*One lucky guy* on retourne a un style plus humoristique. Takei a le malheur d’être doté d’une chance incroyable. Et quand je dis malheur je pèse mes mots : tout petit sa mère qui l’inscrivait dans tous les concours imaginables pour profiter de sa chance, ses relations avec les autres qui tournent systématiquement au gros profitage, son travail d’où il est viré pour avoir gagner une partie de mah-jong contre un gros client… Heureusement pour lui, son collègue Hirose est quelqu’un de très honnête…

*Love machine* et on fini tout en légèreté avec cette histoire qui suit l’obsession de Tamiya pour Yagi, qui fera tout pour séduire son camarade de fac, allant même jusqu’à lui proposer des cours de conduite personnalisés pour l’aider à avoir son permis.

En bref

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Affair
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