Critique BD Prométhée #7

Comme Prométhée a donné aux hommes l’apparence des dieux et le feu pour les aider dans leur évolution, de la même façon, les extras terrestres ont aidé par le passé l’humanité en leur apportant leur technologie.
Il semble que ladite humanité n’a pas répondu comme ils l’auraient souhaité à leurs attentes, et en 2019, durant 13 jours d’apocalypse proposant des maux divers mais meurtriers, à 13H13, ces entités essaient encore de provoquer une prise de conscience des humains avant une destruction totale annoncée.
Ce tome 7 se déroule le 30 septembre.
Il n’est qu’une étape dans une série, qui, on le sait désormais devrait en comprendre 12+1.
Le scénario est solide, mélangeant faits connus, théorie du complot avérée et imagination du scénariste.
Il s’appuie sur un dessin qui lorgne fort du côté comics, précis, parfois un peu froid, avec un traitement simplifié des visages.
La mise en page certes classique est néanmoins nerveuse, handicapée parfois par des dialogues trop envahissants (p35 à 38 par exemple).
En bref, une histoire intéressante et prenante, correctement illustrée, mais dont le risque est de diluer en 12 tomes et de finalement lasser.