Critique BD Le château des Ruisseaux
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Le château des Ruisseaux
par vedge le mer. 18 janv. 2012 Staff
C’est l’histoire d’une déchéance et d’une éventuelle rédemption dans un centre de désintoxication un peu particulier.
D’abord il y a ce vécu d’accro à la dope depuis 10 ans que ne peut atténuer le dessin en demi teintes, pas tout à fait noir et blanc, mais plus proche par la mise en couleur d’une illustration de fait divers de presse écrite que d’une BD d’imagination.
Ensuite, les pages suivantes assènent quelques phrases toutes faites, genre psychologie de comptoir.
Passez outre.
La suite est plus rude, plus âpre, plus vécue.
Elle montre, de manière crue, la descente vers l’addiction où tout devient acceptable pour combler le manque.
Affreux. A lire simplement c’est affreux.
Alors l’avoir vécu, ressenti dans sa chair et son âme….
Et puis des échanges, de ce partage de galères, d’espoirs déçus, naît quelque chose, l’espérance de s’en sortir peut être, comme d’autre semblent avoir réussi avant eux.
Je suis un peu moins convaincu par les pages concernant l’analogie entre dépendance et sentiments amoureux et la rédaction d’une simili lettre de rupture.
La fin est identique à l’ouvrage, elle fait passer du chaud au froid alternativement et la gêne s’installe ne sachant plus finalement si la réalité est plus ou moins dramatique que la fiction.
On note une terrible opposition entre ces aquarelles douces et sensibles, aux couleurs passées, qui dépeignent des visages et des paysages semblent-ils paisibles et le vécu et les sentiments éprouvés par les personnages.
Au global, un sentiment de gêne, ce qui est certainement une réussite, qui fait oublier quelques imperfection de dialogues trop convenus.
D’abord il y a ce vécu d’accro à la dope depuis 10 ans que ne peut atténuer le dessin en demi teintes, pas tout à fait noir et blanc, mais plus proche par la mise en couleur d’une illustration de fait divers de presse écrite que d’une BD d’imagination.
Ensuite, les pages suivantes assènent quelques phrases toutes faites, genre psychologie de comptoir.
Passez outre.
La suite est plus rude, plus âpre, plus vécue.
Elle montre, de manière crue, la descente vers l’addiction où tout devient acceptable pour combler le manque.
Affreux. A lire simplement c’est affreux.
Alors l’avoir vécu, ressenti dans sa chair et son âme….
Et puis des échanges, de ce partage de galères, d’espoirs déçus, naît quelque chose, l’espérance de s’en sortir peut être, comme d’autre semblent avoir réussi avant eux.
Je suis un peu moins convaincu par les pages concernant l’analogie entre dépendance et sentiments amoureux et la rédaction d’une simili lettre de rupture.
La fin est identique à l’ouvrage, elle fait passer du chaud au froid alternativement et la gêne s’installe ne sachant plus finalement si la réalité est plus ou moins dramatique que la fiction.
On note une terrible opposition entre ces aquarelles douces et sensibles, aux couleurs passées, qui dépeignent des visages et des paysages semblent-ils paisibles et le vécu et les sentiments éprouvés par les personnages.
Au global, un sentiment de gêne, ce qui est certainement une réussite, qui fait oublier quelques imperfection de dialogues trop convenus.
En bref
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Le château des Ruisseaux
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