Critique Manhwa Baptist #3

7
Baptist

par ivan isaak le mer. 27 oct. 2010 Staff

Bono a donc décidé d’accepter l’offre de Modos. Afin de retrouver le 15ème, il se met à la recherche de ses camarades partis dans l’espace avec lui. Première « cible » : Alison Green, plus connue sous le nom de Magna, star de la chanson…

En se servant de Modos Technology pour approcher son ancienne camarade, Bono va de nouveau se retrouver face à Satoshi et son pouvoir sur le temps. Incapable de lutter, il ne peut malheureusement pas faire grand-chose pour Alison… Il décide ensuite de partir sur les traces de Kumar, à Las Vegas, grâce à l’aide de Terry, l’agent du FBI. Quant à Lioner, son enquête sur Bono avance et lui permet de rencontrer Young-Chan Min, un autre des enfants de l’expédition spatiale…

Le mystère s’épaissit encore avec ce nouveau tome de Baptist. Alors que nous découvrons petit à petit les 13 enfants (ou 14) et leur pouvoir spécifique, les motivations des deux camps, qui ne sont d’ailleurs pas encore très clairement définis, restent assez floues. Le mélange de mysticisme, fantastique, science-fiction et religion qui caractérise le scénario de Baptist est en tout cas passionnant et intrigant. Certes, tout cela semble pour le moment assez fouillis mais les bribes d’informations qui nous sont communiquées permettent de ne pas décrocher du récit, d’autant que le cliffhanger donne follement envie de lire la suite… Quant au dessin, on s’y habitue sans mal finalement, le récit prenant sans aucun problème le dessus. Un mot sur l’édition avec pas moins de 6 pages glacées tout en couleurs en début de tome, petit plus toujours appréciable.

Poursuivant son récit intrigant, le 3ème tome de Baptist passionne malgré un flou volontaire sur grands nombres d’évènements. Certains nous sont dévoilés, d’autres apparaissent... La fin du tome donne elle l’envie de lire la suite rapidement, et comme d’habitude, c’est toujours bon signe !

En bref

7
Baptist
ivan isaak Suivre ivan isaak Toutes ses critiques (1075)
Partager :
Commentaires sur cette critique (0)
Laissez un commentaire