Critique Manga Le syndrôme de Peter Pan

7
Le syndrôme de Peter Pan

par opaline le lun. 16 nov. 2009 Staff

Cette série courte en deux volumes est typiquement le style de série pouvant s'adresser à tout âge.

Bien entendu, il faut avoir gardé une âme d'enfant tout comme le titre l'indique.

Kohaku jeune fille de 12 ans possède un étrange pouvoir qui a la nuit tombée, lui permet de s'élever dans les airs et s'envoler tout comme le jeune Peter Pan à travers les cieux, elle est accompagnée chaque nuit d'un félin du nom de Wendy. Elle recherche ainsi sa mère disparu dans son enfance. Malgré tout, elle doit rester discrète au risque de se retrouver prisonnière d'un laboratoire, mais c'est sans compter sur sa maladresse qui lui fera croiser le chemin du jeune Yuro...

Cette série du même auteur que Rockin Heaven, nous plonge dans un univers fantastique, s'appuyant sur le conte de Peter Pan. On retrouve ainsi avec plaisir le même genre d'univers mélangé à notre époque. La chatte : Wendy, sert de fée Clochette à notre petite Kohaku et prend son rôle de guide très à cœur!

Au-delà de ce côté fantastique, on retrouve tous les ingrédients d'un bon shôjo, avec une jolie romance entre Kohaku et Yuro. Malgré tout, ce titre pourrait rebuter les plus âgé d'entre-nous de par sa légèreté et un non-approfondissement des thèmes abordés (l'expérimentation génétique en particulier.)

On reste ici dans une série au format court, qui va droit à l'essentiel et qui manquera un peu de profondeur mais qui garde un côté poétique et frais.

Les personnages quant à eux sont sympathique et le jeune Yuro malgré son âge, renferme un certain charisme.

Le graphisme quant à lui est sympathique et typiquement shojonesque, les sentiments et expressions ressortent bien et l'absence de décors apportent une certaine légèreté au titre.

En bref, une série plutôt sympathique pour un format court qui séduira les plus jeunes d'entre nous en particulier.

En bref

7
Le syndrôme de Peter Pan
opaline Suivre opaline Toutes ses critiques (800)
Partager :
Commentaires sur cette critique (0)
Laissez un commentaire