Critique Manga Genkaku Picasso #2
5
Genkaku Picasso
par Den d Ice le mer. 14 déc. 2011 Staff
Dans ce second volume de Genkaku Picasso, il est aussi question de chapitres indépendants les uns des autres, ne cherchez donc pas d'histoire principale. Cependant, l'environnement étant clairement établi, l'auteur peut se concentrer sur ses historiettes et capte son lectorat plus aisément avec des aventures plus profondes.
Quatre nouveaux récits nous sont présentés. Dans le précédent opus, nous découvrions comment Picasso s'est vu attribuer cette tâche divine et comment il s'est fait ses premiers amis. Nous sommes donc en droit de penser que l'auteur développera ses nouvelles missions avec plus d'intensité. Et c'est le cas. Usamaru Furuya, mangaka chevronné nous emmène dans des maux inédits savamment orchestrés. Bien que le schéma narratif soit similaire, il nous happe avec facilité et le lecteur prendra plaisir à rencontrer d'autres camarades de Picasso : Ota, celui qui se sous-estime, Kotone qui s'empêche d'être aimée, Hishida en proie à la schizophrénie et enfin Moe qui se berce d'illusions.
Bien que l'on plonge volontiers dans ces récits intrigants, car bien construits et mettant en scène des mal-être profondément ancrés, on regrette les fins expéditives. En effet, aussitôt le problème analysé, Picasso et sa comparse trouve aisément la solution. Une fois celle-ci appliquée, l'auteur tente de nous faire croire que le souci s'envole aussi sec. Ce constat est assez contradictoire : on nous démontre à quel point les problèmes sont profondément enfouis en chacun d'eux et d'une page à l'autre, tout va pour le mieux et les divers protagonistes respirent la joie de vivre. Vous l'aurez saisi, les deux principaux reproches sont la : la mise en application de la résolution trop rapide et le passage du mal-être au bien-être apparaît comme expéditif, maladroit et non crédible. Peut-être aurait été t-il plus malin de créer moins d'histoires, mais de développer les phases finales…
En bref, bien que Usamaru Furuya développe de « bons » maux du coeur et de l'esprit, on ne peut s'empêcher de penser que chaque histoire trouve une solution trop aisément et trop rapidement. De ce fait, l'histoire perd de l'intérêt. Il ne reste plus qu'un volume de cette courte série qui n'a pas su trouver son public… Espérons que l'auteur nous offre un final à la hauteur de ses précédents travaux.
Quatre nouveaux récits nous sont présentés. Dans le précédent opus, nous découvrions comment Picasso s'est vu attribuer cette tâche divine et comment il s'est fait ses premiers amis. Nous sommes donc en droit de penser que l'auteur développera ses nouvelles missions avec plus d'intensité. Et c'est le cas. Usamaru Furuya, mangaka chevronné nous emmène dans des maux inédits savamment orchestrés. Bien que le schéma narratif soit similaire, il nous happe avec facilité et le lecteur prendra plaisir à rencontrer d'autres camarades de Picasso : Ota, celui qui se sous-estime, Kotone qui s'empêche d'être aimée, Hishida en proie à la schizophrénie et enfin Moe qui se berce d'illusions.
Bien que l'on plonge volontiers dans ces récits intrigants, car bien construits et mettant en scène des mal-être profondément ancrés, on regrette les fins expéditives. En effet, aussitôt le problème analysé, Picasso et sa comparse trouve aisément la solution. Une fois celle-ci appliquée, l'auteur tente de nous faire croire que le souci s'envole aussi sec. Ce constat est assez contradictoire : on nous démontre à quel point les problèmes sont profondément enfouis en chacun d'eux et d'une page à l'autre, tout va pour le mieux et les divers protagonistes respirent la joie de vivre. Vous l'aurez saisi, les deux principaux reproches sont la : la mise en application de la résolution trop rapide et le passage du mal-être au bien-être apparaît comme expéditif, maladroit et non crédible. Peut-être aurait été t-il plus malin de créer moins d'histoires, mais de développer les phases finales…
En bref, bien que Usamaru Furuya développe de « bons » maux du coeur et de l'esprit, on ne peut s'empêcher de penser que chaque histoire trouve une solution trop aisément et trop rapidement. De ce fait, l'histoire perd de l'intérêt. Il ne reste plus qu'un volume de cette courte série qui n'a pas su trouver son public… Espérons que l'auteur nous offre un final à la hauteur de ses précédents travaux.
En bref
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Genkaku Picasso
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