Critique Manga Gintama #16
9
Gintama
par ivan isaak le ven. 5 mars 2010 Staff
Hijikata tente de démanteler le réseau de contrebande du futur mari de Mitsuba, la sœur d’Okita…
Avec l’histoire de Mitsuba, c’est pour une fois l’émotion qui prime dans une histoire de Gintama, le tout bien évidemment agrémenté de jeux de mots débiles et de situations cocasses. Puis vient une histoire en hommage à la série KochiKame, qui fêtait alors ses 30 ans de publication (pour près de 170 tomes à l’heure actuelle) avec une histoire de zombsous hilarantes et complètement déjantée, comme seul Gintama peut nous en proposer. Nous rencontrons ensuite Heiji Kozenigata, un « dur à cuire », dans une histoire toujours aussi débile et dotée d’une narration originale et tout autant hilarante. Enfin, nos amis auront pour mission de convaincre Kyubei de ne pas ériger sa « tour de Babel »…
Une histoire se finit dans ce tome et 3 autres le complète. L’humour débile, déjanté, farfelu, stupide et totalement barré du titre est à chaque fois présent et l’imagination de Hideaki Sorachi semble sans limite. Comme tout titre 100% humoristique, Gintama n’emportera pas l’adhésion. Mais si l’on est totalement réceptif à ce genre d’humour, le titre atteint sa cible en plein cœur et les crises de fous rires s’avèrent toujours aussi nombreuses à la lecture de chaque tome.
Véritable bouffée d’air pur, Gintama emplit le lecteur de bonne humeur, si celui-ci est bien entendu réceptif à l’humour de son auteur. Un titre au côté débile totalement assumé qui fait un bien fou. Pour les fans, qui ont bien de la chance.
Avec l’histoire de Mitsuba, c’est pour une fois l’émotion qui prime dans une histoire de Gintama, le tout bien évidemment agrémenté de jeux de mots débiles et de situations cocasses. Puis vient une histoire en hommage à la série KochiKame, qui fêtait alors ses 30 ans de publication (pour près de 170 tomes à l’heure actuelle) avec une histoire de zombsous hilarantes et complètement déjantée, comme seul Gintama peut nous en proposer. Nous rencontrons ensuite Heiji Kozenigata, un « dur à cuire », dans une histoire toujours aussi débile et dotée d’une narration originale et tout autant hilarante. Enfin, nos amis auront pour mission de convaincre Kyubei de ne pas ériger sa « tour de Babel »…
Une histoire se finit dans ce tome et 3 autres le complète. L’humour débile, déjanté, farfelu, stupide et totalement barré du titre est à chaque fois présent et l’imagination de Hideaki Sorachi semble sans limite. Comme tout titre 100% humoristique, Gintama n’emportera pas l’adhésion. Mais si l’on est totalement réceptif à ce genre d’humour, le titre atteint sa cible en plein cœur et les crises de fous rires s’avèrent toujours aussi nombreuses à la lecture de chaque tome.
Véritable bouffée d’air pur, Gintama emplit le lecteur de bonne humeur, si celui-ci est bien entendu réceptif à l’humour de son auteur. Un titre au côté débile totalement assumé qui fait un bien fou. Pour les fans, qui ont bien de la chance.
En bref
9
Gintama
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