Critique Manga Tatari #2

Un univers qui s'étoffe

Résumé : Tatari est un grand yokai, un bakeneko, qui a pris l’apparence de son ami Takeru après sa mort. Il fréquentait le lycée à sa place, incognito, mais Haruka Abe, descendant d’un onmyoji, l’a démasqué, rouvrant ainsi la porte d’un affrontement vieux de 1000 ans ! Quelle sera l’issue de ce combat ?! Pendant ce temps, à Hong-Kong, une bataille éclate entre les héritiers Belter, Setsuna, et d’autres yokais !

Tatari à cette particularité qu’on ne s’ennuie jamais, surtout son rythme et toutes les petites intrigues qu’il propose. On passe du quotidien au lycée, aux Yokai puis aux Onmioji, ça ne s’arrête jamais. D’ailleurs si on voit un peu l’évolution du protagoniste j’ai trouvé que ce tome 2 mettais l’accent sur les autres acteurs, Yokai et Onmioji.

Du coup c’est assez intéressant à suivre. D’un côté la guerre de succession avec tous les héritiers mais aussi sur l’organisation des Onmioji. On voit alors un univers s’ouvrir, et plusieurs forces se dessiner. Comme à la fin du tome 1, un nouveau « méchant » fait son apparition, dans l’intrigue autour des héritiers, il n’en reste plus que 6, tous s’éliminent les uns après les autres.

Au final, une série qui se veut divertissante, qui ouvre son univers et nous propose pas mal de rebondissements. Ce tome 2 met l’accent sur tout le contexte autour de Tatari. Belle surprise.