Critique Manga Dream Team #4
8
Dream Team
par ivan isaak le sam. 25 févr. 2012 Staff
Takeshi Hinata continue son sans-faute avec ce 4ème volume de Dream Team, toujours très bon.
Au coeur de ce nouveau volume, deux principaux évènements : l'arrivée d'un nouveau joueur dans l'équipe qui ne se fera pas toute seule, et un affrontement filles/garçons riche en enseignements pour Sora et sa bande.
Alternant vie lycéenne, humour et matchs de basket, avec en plus quelques informations techniques et tactiques appréciables, Dream Team possède un rythme idéal et se lit d'une traite. La force du titre réside sans aucun doute dans sa jolie palette de personnages, que ce soit côté masculin ou côté féminin.
Graphiquement, Hinata maitrise son sujet de bout en bout et offre quelques planches de grande qualité dans un ensemble qui n'en manque déjà pas. La fin du tome nous offre des fiches personnages qui devraient combler les fans aimant ce genre de petits bonus.
Le principal problème de Dream Team, dans ce début de série, réside plus dans une édition de la part de Glénat assez moyenne (pour rester poli) : divers problèmes d'impression existe désormais régulièrement sur certains titres (Miximm 11 notamment) et Dream Team n'échappe malheureusement pas à cette mauvaise habitude, avec encre qui bave et même parfois impression faiblarde (comme pour la fiche de Momoharu, où certains mots ont tout simplement disparu). Pas rédhibitoire pour l'instant, mais gênant tout de même lors de la lecture...
Nous offrant un excellent début de série, Dream Team s'impose de plus en plus comme un shonen sportif de qualité et qui pourrait bien se retrouver en haut de la pile des références du genre. Reste maintenant à nous offrir le surplus d'émotion nécessaire, qui devrait intervenir dès les premiers gros matchs à enjeu.
Au coeur de ce nouveau volume, deux principaux évènements : l'arrivée d'un nouveau joueur dans l'équipe qui ne se fera pas toute seule, et un affrontement filles/garçons riche en enseignements pour Sora et sa bande.
Alternant vie lycéenne, humour et matchs de basket, avec en plus quelques informations techniques et tactiques appréciables, Dream Team possède un rythme idéal et se lit d'une traite. La force du titre réside sans aucun doute dans sa jolie palette de personnages, que ce soit côté masculin ou côté féminin.
Graphiquement, Hinata maitrise son sujet de bout en bout et offre quelques planches de grande qualité dans un ensemble qui n'en manque déjà pas. La fin du tome nous offre des fiches personnages qui devraient combler les fans aimant ce genre de petits bonus.
Le principal problème de Dream Team, dans ce début de série, réside plus dans une édition de la part de Glénat assez moyenne (pour rester poli) : divers problèmes d'impression existe désormais régulièrement sur certains titres (Miximm 11 notamment) et Dream Team n'échappe malheureusement pas à cette mauvaise habitude, avec encre qui bave et même parfois impression faiblarde (comme pour la fiche de Momoharu, où certains mots ont tout simplement disparu). Pas rédhibitoire pour l'instant, mais gênant tout de même lors de la lecture...
Nous offrant un excellent début de série, Dream Team s'impose de plus en plus comme un shonen sportif de qualité et qui pourrait bien se retrouver en haut de la pile des références du genre. Reste maintenant à nous offrir le surplus d'émotion nécessaire, qui devrait intervenir dès les premiers gros matchs à enjeu.
En bref
8
Dream Team
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