Critique Manga Horimiya #10

Sengoku et Remi

Horimiya, neuvième du nom, avait une fin vraiment étonnante. Mais, pour ceux qui connaissent les mangas, vous savez très bien que l'on n'a jamais vraiment les réponses à ce genre de question, ou alors, de manière très indirecte. Il va falloir donc rechercher le moindre indice dans ce tome dix, à vos loupes les Hercule Poirot en herbe !

Encore une fois, quelques chapitres sortent du lot. On a toujours les extraits de l'intimité d'Hori et de Miyamura. Je ne parle pas des fantasmes des autres élèves quand ses camarades de classe savent à présent que certains soirs, le jeune tatoué ne rentre pas chez lui et dort donc sous le toit de la jolie blonde. Il va falloir arrêter ce fantasme de les voir prendre un bain ensemble, à croire qu'ils ne connaissent pas du tout le père d'Hori !

À ce propos, ce dernier a deux chapitres qui lui sont consacrés. L'un raconte brièvement sa période lycéenne auprès du père de Sengoku. L'occasion de faire le parallèle avec nos propres amis. Ensuite, ce sera à la sortie de l'établissement que nous verrons ce papa branché et souple. De quoi encore mettre un peu plus mal à l'aise le petit brun.

On continue sur un moment encore plus cosy, pour reprendre le terme de l'éditeur, Nobi Nobi. Car, on va avoir d'autres renseignements, cette fois-ci, sur Sengoku et Remi. Les amours pleuvent en ce printemps, de quoi peut-être vous donner du courage afin de déclarer vous aussi votre flamme à celle ou celui qui vous fait tant rêver ?

« Ah là là... rien que de m'en souvenir, j'ai le cœur qui bat à tout rompre ! »