Critique Manga Arte #3
- 535ème
- 1263
- 0
- 175
- 64
par Skeet le lun. 14 mars 2016 Staff
Mais la majeure partie de ce tome est consacrée à une autre histoire dans laquelle Arte va se retrouver pour la première fois en danger. En effet, elle va être mise à l'épreuve au cours d'un gros chantier dans lequel une fresque devra être réalisée. L'auteur en profite ainsi pour nous présenter de nouvelles techniques de peinture mais sans être rébarbatif. Car au final, c'est ce qui est appréciable dans Arte comparé à d'autres mangas où c'est le côté technique qui prend le dessus. Ici on est plus dans l'émotion et dans l'ambiance de la ville de Florence. Par contre, le seul bémol réside dans le fait qu'encore une fois, tout repose sur le fait qu'Arte soit une femme et qu'elle a du mal à être considérée comme une artiste à part entière. La deuxième histoire est intéressante, notamment concernant l'attitude de Léo envers Arte mais au final on tourne un peu en rond concernant le message véhiculé. Mais Arte est un personnage tellement positif et attachant qu'on se prend au jeu et qu'on aime la voir réagir avec la spontanéité qu'on lui connait sans jamais douter qu'elle peut être l'égal d'un homme, même quand il s'agit de sport (la fameux Calcio) !
La fin du tome, sans être un vrai "cliffhanger", nous donne envie de lire la suite grâce à l'apparition d'un nouveau personnage qui devrait avoir de l'importance dans le parcours d'Arte... A suivre.
En bref
Pas de surprises dans ce tome qui est dans la directe lignée des deux précédents. L'auteur continue de centrer son récit sur les relations entre Léo et Arte tout en continuant à mettre en avant la discrimination envers la jeune femme. Le message que veut faire passer l'auteur n'a pas changé mais tout ce qui en ressort est toujours aussi positif et d'une grande fraîcheur. Vivement la suite.
Partagez votre avis en écrivant une critique !
Vous connaissez cette oeuvre ? Donnez votre avis et partagez ainsi votre expérience avec les visiteurs de Manga Sanctuary !
Donner mon avis
Commentaires sur cette critique (0)
Laissez un commentaire