Critique Manga Night café - My sweet knights #1
6
Night café - My sweet knights
par Sherryn le mar. 27 mai 2014 Staff
Maki Enjoji est une mangaka qui a une certaine réputation chez les lectrices de shôjo, ses oeuvres étant généralement archi-classiques mais tellement charmantes qu'on lui pardonne volontiers. Et Night Café ne fait pas exception à la règle, bien au contraire !
Si vous aimez le style de cette auteur, vous ne pourrez qu'être enchanté. Alors oui, il y a pas mal de stéréotypes propres à beaucoup de shôjo : la bande de bishônen charismatiques, l'héroïne fidèle altruiste qui cache ses problèmes au fond de son coeur, fidèle à son premier amour et ayant juré de ne plus tomber amoureuse, et le triangle amoureux qui se dessine déjà malgré le désintérêt de la principale intéressée.
Pour aimer Night Café, il faut pouvoir lire un shôjo pour la seule raison qu'on aime bien ce côté vie quotidienne, additionné à de l'humour et une romance largement sous-entendue, où l'émotion affleure en permanence entre rires et larmes. Non, Night Café ne révolutionne pas le genre, loin de là ; mais force est de constater qu'elle a beau user de ficelles sur-utilisées, la mangaka en use avec beaucoup de talent, offrant un juste équilibre entre les différents sentiments de sa série et sachant proposer des personnages séduisants et un rythme par lequel on se laisse aisément porter. Oui, dans Night Café, tout est classique, mais c'est du classique tellement bien fait qu'on oublie vite ce manque flagrant d'originalité.
Si vous êtes allergiques aux shôjo, par contre, vous pouvez partir en courant sans trop de regret, tellement celui-là ne sort en rien des sentiers battus. Tout au plus vous permettra-t-il de découvrir à quoi ressemble un shôjo stéréotypé bien fait. Sinon, l'absence de ligne rouge autre que "aligner des scènes de vie quotidienne jusqu'à ce l'héroïne se mette en couple avec quelqu'un" risque fort de vous ennuyer malgré toutes les autres qualités de ce manga.
Le graphisme et le style ne déparent en rien face à la moyenne du genre. Ce n'est pas forcément personnel, mais très joli à l'oeil néanmoins, et convenant parfaitement pour ce type de série. On plonge dans la lecture sans aucun problème et on ne voit pas le temps passer.
Night Café et son auteur sont des valeurs assez sûres si vous aimez le genre. Les trois tomes de cette série promettent de ne pas laisser traîner les choses trop longtemps, alors pourquoi ne pas s'y pencher ?
Si vous aimez le style de cette auteur, vous ne pourrez qu'être enchanté. Alors oui, il y a pas mal de stéréotypes propres à beaucoup de shôjo : la bande de bishônen charismatiques, l'héroïne fidèle altruiste qui cache ses problèmes au fond de son coeur, fidèle à son premier amour et ayant juré de ne plus tomber amoureuse, et le triangle amoureux qui se dessine déjà malgré le désintérêt de la principale intéressée.
Pour aimer Night Café, il faut pouvoir lire un shôjo pour la seule raison qu'on aime bien ce côté vie quotidienne, additionné à de l'humour et une romance largement sous-entendue, où l'émotion affleure en permanence entre rires et larmes. Non, Night Café ne révolutionne pas le genre, loin de là ; mais force est de constater qu'elle a beau user de ficelles sur-utilisées, la mangaka en use avec beaucoup de talent, offrant un juste équilibre entre les différents sentiments de sa série et sachant proposer des personnages séduisants et un rythme par lequel on se laisse aisément porter. Oui, dans Night Café, tout est classique, mais c'est du classique tellement bien fait qu'on oublie vite ce manque flagrant d'originalité.
Si vous êtes allergiques aux shôjo, par contre, vous pouvez partir en courant sans trop de regret, tellement celui-là ne sort en rien des sentiers battus. Tout au plus vous permettra-t-il de découvrir à quoi ressemble un shôjo stéréotypé bien fait. Sinon, l'absence de ligne rouge autre que "aligner des scènes de vie quotidienne jusqu'à ce l'héroïne se mette en couple avec quelqu'un" risque fort de vous ennuyer malgré toutes les autres qualités de ce manga.
Le graphisme et le style ne déparent en rien face à la moyenne du genre. Ce n'est pas forcément personnel, mais très joli à l'oeil néanmoins, et convenant parfaitement pour ce type de série. On plonge dans la lecture sans aucun problème et on ne voit pas le temps passer.
Night Café et son auteur sont des valeurs assez sûres si vous aimez le genre. Les trois tomes de cette série promettent de ne pas laisser traîner les choses trop longtemps, alors pourquoi ne pas s'y pencher ?
En bref
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Night café - My sweet knights
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