Critique Manga SAMIDARE, Lucifer and the biscuit hammer #8
5
SAMIDARE, Lucifer and the biscuit hammer
par Charlie One le mer. 25 sept. 2013 Staff
Il ne reste plus que trois volumes avant la fin de la série en comptant celui-ci et c’est un tome de transition très moyen que nous tenons entre les mains…
Cela fait maintenant un moment qu’on l’observe, le chevalier Chat représente un atout considérable dans le camp d’Anima. Le personnage est un des seuls à conserver encore un minimum d’ambigüité en plus d’avoir un pouvoir très utile pour justifier une place de choix dans l’histoire. Du coup, par la même occasion on en vient à se demander si les autres chevaliers servent à quelque chose. A part la Chouette…
Yui et la princesse, pourtant les (anti-)héros de l’histoire ne servent même strictement à rien. Ce n’est clairement pas pour eux que l’on continue à lire car aucun développement digne d’intérêt ne leur est offert pour le deuxième tome consécutif. Et ce n’est pas la love life compliquée et complètement saugrenue de Yui ou ses aventures sur un plan imaginaire qui vont me faire dire le contraire. Pour la seconde, l’étoffement du personnage est tout simplement inexistant. Il est donc facile de résumer leur situation : il y a toujours un plan machiavélique en place pour détruire la Terre – ça c’est bon – mais comme nous n’avons pas encore suffisamment avancé vers la conclusion, on attend… bien ! Nous pouvons directement passer au tome 10.
A ce stade, la série en elle-même ne parait même plus vouloir se démarquer. L’enchainement des événements est morne lorsque remis en perspective. Marionnette après marionnette, on continue le combat sans s’éloigner d’un chemin tout tracé. Ou alors très brièvement. C’est le cas pour l’avant-dernière marionnette et sa personnalité unique mais c’est étiré en longueur inutilement et on le voit. Sous prétexte d’un caprice, la marionnette à onze yeux décide de remettre à plus tard la bataille pour laisser le temps aux chevaliers de se préparer… Ce n’est pas un twist particulièrement excitant ni original, juste un prétexte pour remplir un chapitre de plus.
Il ne reste plus que deux tomes maintenant et une marionnette de boue avant de connaitre le dénouement. Le cliffhanger made in Anima est assez particulier et hum… mystérieux. On va dire que c’est assez pour patienter tout en espérant retrouver la dynamique efficace du milieu de série.
Cela fait maintenant un moment qu’on l’observe, le chevalier Chat représente un atout considérable dans le camp d’Anima. Le personnage est un des seuls à conserver encore un minimum d’ambigüité en plus d’avoir un pouvoir très utile pour justifier une place de choix dans l’histoire. Du coup, par la même occasion on en vient à se demander si les autres chevaliers servent à quelque chose. A part la Chouette…
Yui et la princesse, pourtant les (anti-)héros de l’histoire ne servent même strictement à rien. Ce n’est clairement pas pour eux que l’on continue à lire car aucun développement digne d’intérêt ne leur est offert pour le deuxième tome consécutif. Et ce n’est pas la love life compliquée et complètement saugrenue de Yui ou ses aventures sur un plan imaginaire qui vont me faire dire le contraire. Pour la seconde, l’étoffement du personnage est tout simplement inexistant. Il est donc facile de résumer leur situation : il y a toujours un plan machiavélique en place pour détruire la Terre – ça c’est bon – mais comme nous n’avons pas encore suffisamment avancé vers la conclusion, on attend… bien ! Nous pouvons directement passer au tome 10.
A ce stade, la série en elle-même ne parait même plus vouloir se démarquer. L’enchainement des événements est morne lorsque remis en perspective. Marionnette après marionnette, on continue le combat sans s’éloigner d’un chemin tout tracé. Ou alors très brièvement. C’est le cas pour l’avant-dernière marionnette et sa personnalité unique mais c’est étiré en longueur inutilement et on le voit. Sous prétexte d’un caprice, la marionnette à onze yeux décide de remettre à plus tard la bataille pour laisser le temps aux chevaliers de se préparer… Ce n’est pas un twist particulièrement excitant ni original, juste un prétexte pour remplir un chapitre de plus.
Il ne reste plus que deux tomes maintenant et une marionnette de boue avant de connaitre le dénouement. Le cliffhanger made in Anima est assez particulier et hum… mystérieux. On va dire que c’est assez pour patienter tout en espérant retrouver la dynamique efficace du milieu de série.
En bref
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SAMIDARE, Lucifer and the biscuit hammer
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