Critique Manga Cimoc #2
2
Cimoc
par Charlie One le mar. 4 juin 2013 Staff
Kota continue son apprentissage du manga avec la charmante (ou pas) Hinata Sawagonuchi dans ce deuxième volume. Et bien on s’emmerde un peu si vous voulez mon avis. Excusez le langage grossier.
Je ne sais pas trop ce que je peux dire de plus par rapport au premier tome. C’est toujours aussi mauvais et affligeant de voir Lim Dall Young s’enliser dans un scénario pseudo érotique où le héros est un Pokemon de type "stimulé". Une créature rare à en croire la rédactrice en chef ! Et il faut admirer ses techniques impressionnantes. L’attaque "Gros Yeux" sur les petites culottes et les gros seins de ses connaissances féminines le transporte dans une transe mystique lui permettant de dessiner des filles sexy. Je rigole mais je trouve mon interprétation de l’œuvre plus plaisante à lire.
Plaisanteries mises à part, on accorde quelques points pour le tout petit fil rouge qui attiserait presque la curiosité du lecteur : le passé d’Hinata et sa relation avec Sayaka Jumonji. Les deux femmes ont l’air de ne pas s’apprécier, pour plus de détails il faudra attendre le prochain tome.
En attendant, on nous présente la nouvelle assistante de Kota. J’ai déjà oublié son nom, je n’ai retenu que son caractère violent. Son introduction est comme pour le reste globalement bâclée et peu inspirée.
On finira cette brillante chronique par un commentaire de la dernière page qui m’a fait rire tellement j’ai trouvé ça abusé. Il ne manque plus qu’un « Diantre ! Malédiction ! » pour intensifier l’effet dramatique.
Cimoc, c’est pas encore ça. Sauf si vous le lisez comme moi, ironiquement.
Je ne sais pas trop ce que je peux dire de plus par rapport au premier tome. C’est toujours aussi mauvais et affligeant de voir Lim Dall Young s’enliser dans un scénario pseudo érotique où le héros est un Pokemon de type "stimulé". Une créature rare à en croire la rédactrice en chef ! Et il faut admirer ses techniques impressionnantes. L’attaque "Gros Yeux" sur les petites culottes et les gros seins de ses connaissances féminines le transporte dans une transe mystique lui permettant de dessiner des filles sexy. Je rigole mais je trouve mon interprétation de l’œuvre plus plaisante à lire.
Plaisanteries mises à part, on accorde quelques points pour le tout petit fil rouge qui attiserait presque la curiosité du lecteur : le passé d’Hinata et sa relation avec Sayaka Jumonji. Les deux femmes ont l’air de ne pas s’apprécier, pour plus de détails il faudra attendre le prochain tome.
En attendant, on nous présente la nouvelle assistante de Kota. J’ai déjà oublié son nom, je n’ai retenu que son caractère violent. Son introduction est comme pour le reste globalement bâclée et peu inspirée.
On finira cette brillante chronique par un commentaire de la dernière page qui m’a fait rire tellement j’ai trouvé ça abusé. Il ne manque plus qu’un « Diantre ! Malédiction ! » pour intensifier l’effet dramatique.
Cimoc, c’est pas encore ça. Sauf si vous le lisez comme moi, ironiquement.
En bref
2
Cimoc
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