Critique Manga Chocolate Girl #1

6ème série de Yuki Yoshihara à paraitre en France, Chocolate Girl nous plonge dans le domaine du showbizness avec la jeune Kyoko, manager d’artistes un brin gaffeuse.

Le thème du showbiz et des agents d’artistes semble être à la mode, Chocolate Girl étant le second titre sur le même thème à sortir chez nous en peu de temps (Avoue que tu m’aimes se passe dans le milieu de la musique). A la suite d’une nouvelle gaffe, Kyoko va devoir réussir à recruter un jeune acteur de théâtre pour la télévision et le cinéma. Mais Riku, au caractère bien trempé, n’a aucune envie de quitter les planches…

Le premier volume de cette courte série (3 tomes) plonge assez rapidement le lecteur dans l’histoire, avec le monde des managers d’acteurs, les coulisses des spectacles, les doutes des acteurs, la rivalité entre eux… Bien entendu, un josei ne serait pas un josei sans une romance entre nos héros et c’est donc sans surprises que nous voyons Kyoko et Riku se rapprocher. On reste pourtant une nouvelle fois assez étonné de cette facilité déconcertante des demoiselles pour offrir leur corps à leurs artistes. C’était déjà le cas dans « Avoue que tu m’aimes », et c’est de nouveau le cas ici. Les mœurs nippones sont vraiment particulières…

Avec un coup de crayon assuré et très professionnel, Chocolate Girl est une courte série qui ne paie pas de mine, n’emballe pas particulièrement mais n’est pas désagréable à lire pour autant. Bref, voici une nouvelle série dans la moyenne habituelle du marché, mettant en scène une jeune OL et un acteur plutôt froid. A voir selon vos attentes.