Critique Manga Sign of Love #1

Voici une nouvelle série courte, en 5 volumes, par l'auteur de Bus for spring et Living in a happy world.

On y découvre Ichigo, une jeune fille qui entre au lycée, et qui, durant l'été précédent, fait la connaissance de Kôki auquel elle n'est pas indifférente et son cousin, Taiga. Ceux ci sont en vacances, comme elle, au bord de la mer. Le mystère plane autour du passé de Kôki, et Ichigo le surprend à deux reprises près de la mer, dans les rochers, où des gens sont morts...mais qu'y faisait il?
Lors de son premier jour de lycée, elle retrouve par surprise Kôki et Taiga, même si ceux-ci font mine de ne pas la reconnaitre.

D'un point de vue graphisme, les personnages sont dessinés plutôt finement. Leurs visages ont parfois des traits ronds, comme des poupées. Les traits se font parfois plus grossiers et SD quand il s'agit de contexte humoristique.

D'un point de vue scénaristique, l'histoire se met en place dès le départ avec nos trois protagonistes et instaure aussitôt le mystère autour de Kôki.
Malgré les efforts de Taiga pour les séparer, Ichigo et Kôki se rapprochent. La personnalité d’Ichigo y est surement pour quelque chose. En effet, la jeune fille se révèle être plutôt naive, frêle et enfantine et se laisse toujours entrainer malgré elle dans des situations difficiles ; Kôki est toujours là pour l’aider et on sent un amour naissant entre les deux personnages. Le mystère reste toujours entier autour du jeune homme, donnant à cette histoire un peu plus de profondeur et un côté un peu plus dramatique.

Au final, un début intéressant avec une histoire qui se révèle légère avec de l’humour grâce à Ichigo et sa personnalité enfantine et à la fois mystérieuse et mélo dramatique par Kôki. A suivre…