Critique Manga Yakuza Love Theory #1
8
Yakuza Love Theory
par Capricorn le dim. 19 oct. 2014
J'attendais Yakuza Love Theory avec impatience. Il semblait contenir tout ce qu'il faut pour faire un bon manga décalé humoristique et captivant pour otaku japonais.
Yakuza Love Theory, c'est Yarahata, un loser d'une vingtaine d'années qui n'a jamais eu de petite amie. Mais il va devoir en trouver une cette année sinon sa lignée sera éteinte. C'est alors qu'il reçoit la visite d'un yakuza fantôme (ou d'un fantôme yakuza ?) qui sera alors son coach de l'amour et plus particulièrement, "le grand Aiya, prof d'EPS de l'amour". Le ton est donné. Non, le ton est donné dès les premières pages en fait : des filles aux formes avantageuses en petites tenues sur une double page colorée. Notre héros fantasme et ses fantasmes nous font rire. Le fantôme et son apprenti forme un duo original et cocasse ; le premier est bien trop porté sur les petites culottes alors que le second semble avoir du mal à appliquer les conseils de son mentor. Conseils pas si idiots que cela finalement et chacun des chapitres dévoile alors une morale qui dépasse les dessins destinés à un jeune public masculin ; elle relève alors le niveau du manga aux premiers abords uniquement sexy et déjanté.
Bien que quelques fois un peu répétitif, Yakuza Love Theory brille par son humour décalé, ses personnages déjantés et ses plans osés. On rit tout haut et on s'attache à ce loser malmené tout en espérant finalement pour lui qu'il saura séduire la collègue qui le fait craquer.
Yakuza Love Theory, c'est Yarahata, un loser d'une vingtaine d'années qui n'a jamais eu de petite amie. Mais il va devoir en trouver une cette année sinon sa lignée sera éteinte. C'est alors qu'il reçoit la visite d'un yakuza fantôme (ou d'un fantôme yakuza ?) qui sera alors son coach de l'amour et plus particulièrement, "le grand Aiya, prof d'EPS de l'amour". Le ton est donné. Non, le ton est donné dès les premières pages en fait : des filles aux formes avantageuses en petites tenues sur une double page colorée. Notre héros fantasme et ses fantasmes nous font rire. Le fantôme et son apprenti forme un duo original et cocasse ; le premier est bien trop porté sur les petites culottes alors que le second semble avoir du mal à appliquer les conseils de son mentor. Conseils pas si idiots que cela finalement et chacun des chapitres dévoile alors une morale qui dépasse les dessins destinés à un jeune public masculin ; elle relève alors le niveau du manga aux premiers abords uniquement sexy et déjanté.
Bien que quelques fois un peu répétitif, Yakuza Love Theory brille par son humour décalé, ses personnages déjantés et ses plans osés. On rit tout haut et on s'attache à ce loser malmené tout en espérant finalement pour lui qu'il saura séduire la collègue qui le fait craquer.
En bref
8
Yakuza Love Theory
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