Critique Manga Le chat qui rendait l'homme heureux - et inversement - #13

Résister à son chat ? Impossible !

Lecture feel good féline par
excellence, de tome en tome, on prend plaisir à retrouver Kanda, ses
amis et leurs chats pour un moment reposant qui nous déconnecte.

Cette fois à l’image de sa pyramide de chats en couverture, nous
allons encore nous régaler de leurs petites aventures du quotidien
auxquelles viennent s’ajouter celles de leurs maîtres. D’ailleurs, ce
serait bien d’avoir quelques maîtresses également. Petit message

Que ce soit Natsuhito, le meilleur ami de
Kanda, qui veut apprendre à jouer du piano pour leur anniversaire de
mariage avec sa femme ou Yoshiharu, un autre ami passionné de musique,
qui cherche à nouveau des membres pour son groupe, chacun trouve de
l’aide et quelle aide auprès de notre héros mature, devenu un pilier
dans leur vie et plus seulement le beau veuf solitaire qu’il était
autrefois. Quelle belle évolution.

Bien sûr les aventures félines ne sont
pas en reste, que ce soit dans les petits strips toujours aussi amusants
en fin de chapitre ou lors de vraies histoires développant par exemple
le besoin de perdre du poids de Marine, la soeur de Fukumaru ou les
bêtises du siamois du voisin de Yoshiharu. C’est toujours aussi drôle et
mignon sur le ton qu’on connaît bien avec ces maîtres gagas, qui ici,
par exemple, on bien du mal à restreindre leurs animaux chéris que ce
soit pour manger ou faire des bêtises et des chats qui, eux, nous font
bien tourner en bourrique mais sont tellement heureux. Adorable.

Le gros du tome, lui, est consacré comme
l’annonce la couverture à la recherche de membres pour son groupe de
Yoshimaru, qui retrouver un ami musicien maladroit qui l’avait trahi
mais le regrettait. L’autrice aime bien faire ce genre de focus,
enrichissant à chaque fois sa galerie de personnages. Et en parallèle,
on entend un Kanda qui a de plus en plus envie de remonter sur scène,
peut-être pour un petit boeuf dans le final ? Affaire à suivre.