Critique Manga Though I Am an Inept Villainess #2

La valse sogdienne

Pour ma part, Though I am an inept Villainess est une très bonne surprise. Il est vrai que l'on a déjà vu ce genre de scénario dans de nombreux isekai, mais, ici, on n'est plus dans un décor inspiré de l'histoire impériale du Japon, de plus, le tout est formidablement bien exploité. Et, ce second tome ne fait pas exception.

D'ailleurs, on continue à suivre les pensées de l'héroïne, Reirin, accompagnée de sa jeune servante, Riri. Celle-ci sent la différence de caractère de sa maîtresse, par contre, elle n'arrive pas à s'enlever les horreurs exprimées à son encontre dès qu'elle voit le visage de cette dernière. C'est tout le nouvel enjeu de Reirin. Il va falloir envoyer du lourd afin de rétablir ne serait-ce qu'un contact.

Sinon, on apercevra que le nouvel état physique très fragile de son ennemi de toujours n'est vraiment pas un cadeau. Pendant que l'autre plante dans son jardin à l'aide de ses bras nus, l'autre n'arrête pas son alitement. On a presque de l'empathie pour la fiévreuse. Et puis, la Cour ne va pas tarder à se rendre compte que, cette fois, l'automédication ne suffira plus. Et, c'est tout à fait normal puisqu'une autre investit ce corps. Un coup fatal ?

« Mais qui es-tu à la fin ? »