Critique Manga The Quintessential Quintuplets #4

Je voulais juste une dernière danse

Il y aura un avant et un après ce tome. Jusqu'à maintenant, les quintuplets n'ont fait que se disputer par rapport à leur jeune professeur à domicile. On a appris que celui-ci ne faisait pas cet emploi au départ le cœur sur la main. Venant d'un milieu modeste, Fûtarô fait ce qu'il peut pour gagner un peu d'argent pour payer ses études, et même, pourquoi pas, quelques charges du foyer. On peut noter que c'est un homme bon, qui pense également à sa petite sœur. Par contre, il ne pensait pas qu'il y avait autant de travail à fournir au départ.

Une fois sa place sauvegardée in extremis auprès de son employeur, Monsieur Nakano, les voilà tous parties pour trois jours de classe nature. L'occasion de découvrir quelques camarades de classe. Ceux-ci tourneront autour de certaines des plus ravissantes demoiselles. Bon, elles se ressemblent beaucoup vous me direz, elles sont donc toutes charmantes, c'est bien le problème.

D'ailleurs, pour une fois, on fera un petit tour dans le futur, directement sur la conclusion de la série, c'est-à-dire, le fameux mariage de Fû avec l'une de ces cinq amies. C'est plutôt sympathique et bienvenu. Il faudrait limite tout réunir ces petits passages afin de compléter le dernier tome finalement, car, le tout est très croustillant.

Sinon, on continue une recette qui fonctionne. Les filles se découvrent toutes plus ou moins éprises de leur professeur. En tout cas, elles l'admirent sans véritablement l'admettre encore.. sauf une ! Certaines aimeraient tant danser avec lui le soir du campement autour d'un feu orangé. La légende raconte même que le couple serait alors réuni pour la vie.

Negi Haruba s'amuse avec son public entre déguisements, quiproquos, scènes émouvantes, ou encore, ses fabuleux bons dans le temps. Il s'amuse comme un petit fou à regarder cette jeunesse profiter de la vie, on en rajeunirait presque. Un bon tome qui marque avec sa fin, un véritable tournant. La bataille pour le cœur de l'ancien rebelle ne fait que commencer !