Ex-Vita
- 1754ème
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En 2050, le monde a changé avec la découverte de la pierre anti-gravitée. Depuis, on a construit des androïdes à l'apparence et à la conscience humaine mais dont la durée de vie est limitée à 4 ans. Minami, policière et tête brulée, va profiter d'Alma sa co-équipière androïde pour se lancer dans des enquêtes excitantes. Mais elle découvre finalement une criminalité inattendue.
Dernières critiques du staff
Courte série en deux tomes rejoignant Kerberos au rayon action/SF de Tonkam, EX-vita ne joue pas tout à fait dans la même catégorie en nous proposant ici un univers relativement familier, les éléments réellement futuristes distillés avec parcimonie et le peu de références scientifico-technologiques étant davantage là pour décorer qu'autre chose. Ex-vita, c'est avant tout de l'action, du fan-servi...

Dernières critiques des membres
C'est mon premier manga, il est sympa et facile à lire, de très belles images. Le scénario est un peu léger mais captivant. J'ai hâte d'acheter le 2e tome. Je ne sais pas si c'est parce que c'est mon premier manga, mais je trouve que le livre trouve quand même quelques "prétextes" pour y mettre facilement et ponctuellement du "sexy/nue" sans rien ajouter à la profondeur de l'histoire....
Ex-Vita est un de mes coup de coeur de ces derniers temps! L'histoire nous place au coeur d'un thème qui sera surement d'actualité dans quelques années: l'utilité des 3 loies fondamentales de la robotique! Les personnages son attachants, sincères et touchants. Les deux protagonistes sont sexy sans êtes vulgaires, ce qui augmente leur côté attachant. Je regrette vraiment que cette série ne s...
Comme le tome 1, ce second opus trahit la négligence avec laquelle l'éditeur a travaillé : on relève de nombreuses coquilles, comme "sans" au lieu de "dans", "j'ai réfléchis" avec un "s" au participe passé, etc. Sur le plan de l'histoire, la narration se fait plus dense, plus cohérente. Dans le tome 1, même si on devinait que les différentes "missions" de Minami et Alma avaient un dénominateur c...
Je ne serai pas aussi critique que d'autres. Commençons par ce qui fâche : oui, c'est vrai, la traduction comporte des fautes. Par exemple, quand le jeune roi dit "C'est moi. je rentre à l'hôtel", la première phrase n'a aucun sens. Il aurait fallu traduire par "c'est moi le chef", c'est moi qui décide", voire "le roi, c'est moi"", qui aurait été amusant. Il y a aussi peut-être des fautes qui incom...
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