Critique BD Canardo #20
7
Canardo
par vedge le sam. 5 nov. 2011 Staff
Ouvrir un Canardo, c’est se trouver au cœur d’une fable de la fontaine.
Des animaux montrant les traits, les misères et les faux pas de la race humaine, avec la distanciation que procure leurs visages et leurs corps d’animaux.
Mais nul n’est dupe très longtemps et les fables frappent toujours fort et juste.
Les femmes sont fatales et arborent souvent, anachronisme du temps présent, des fumes cigarettes.
A quand d’ailleurs l’interdiction d’une publicité aussi manifeste dans les BDs (joke of course) ? Mais je m’égare …
On apprend dans ce tome que la loi et l’ordre virent plutôt à hors la loi et désordre, que les boucs émissaires sont bien choisis et que notre Colombo aux airs de dilettante revenu de tout, possède, en plus de son sex appeal , un cerveau en parfait état de fonctionnement malgré l’alcool.
C’est plutôt une bonne nouvelle au bout de 20 tomes.
Au final, l’amour triomphe de toutes les embûches et petites cases dans lesquelles chacun doit rentrer et c’est là aussi plutôt une fin optimiste à un opus qui reste d’histoires et d’humour noirs.
Le dessin, sans surprise, est et décrit le monde dans lequel l’inspecteur évolue.
En bref : Enquête noire et désabusée dans le plus pur style du Colombo des gallinacées sur un dessin attendu mais toujours efficace.
Des animaux montrant les traits, les misères et les faux pas de la race humaine, avec la distanciation que procure leurs visages et leurs corps d’animaux.
Mais nul n’est dupe très longtemps et les fables frappent toujours fort et juste.
Les femmes sont fatales et arborent souvent, anachronisme du temps présent, des fumes cigarettes.
A quand d’ailleurs l’interdiction d’une publicité aussi manifeste dans les BDs (joke of course) ? Mais je m’égare …
On apprend dans ce tome que la loi et l’ordre virent plutôt à hors la loi et désordre, que les boucs émissaires sont bien choisis et que notre Colombo aux airs de dilettante revenu de tout, possède, en plus de son sex appeal , un cerveau en parfait état de fonctionnement malgré l’alcool.
C’est plutôt une bonne nouvelle au bout de 20 tomes.
Au final, l’amour triomphe de toutes les embûches et petites cases dans lesquelles chacun doit rentrer et c’est là aussi plutôt une fin optimiste à un opus qui reste d’histoires et d’humour noirs.
Le dessin, sans surprise, est et décrit le monde dans lequel l’inspecteur évolue.
En bref : Enquête noire et désabusée dans le plus pur style du Colombo des gallinacées sur un dessin attendu mais toujours efficace.
En bref
7
Canardo
Partagez votre avis en écrivant une critique !
Vous connaissez cette oeuvre ? Donnez votre avis et partagez ainsi votre expérience avec les visiteurs de Manga Sanctuary !
Donner mon avisAcheter Canardo 20 simple 2010
Dernières critiques
par Tampopo24 le jeu. 6 juin 2024
par Tampopo24 le jeu. 6 juin 2024
par Tampopo24 le jeu. 6 juin 2024
par Tampopo24 le mar. 4 juin 2024
par Tampopo24 le mar. 4 juin 2024
par Tampopo24 le mar. 4 juin 2024
par MassLunar le mar. 4 juin 2024
Actualité
le ven. 7 juin 2024
le ven. 7 juin 2024
le jeu. 6 juin 2024
le mer. 5 juin 2024
le mar. 4 juin 2024
le mar. 4 juin 2024
le mar. 4 juin 2024
Commentaires sur cette critique (0)
Laissez un commentaire