Critique Manga Genesis #11

La fin de la première partie

Résumé : Sans Taiga ni Tiari pour combattre avec eux, les villageois se retrouvent dans une impasse. Cernée d’innombrables Néandertaliens, la forteresse s’apprête à tomber. LE fils du général ennemi profite du chaos pour emmener Yuka avec lui. De son côté, le roi Nakum est frappé par « l’arme divine ». Homo-sapiens ou Néandertaliens, qui survivra ? Que devient le jeune Taiga, entrainé dans ces conflits préhistoriques ?

Annoncé comme la fin d’une première partie, Kouji Mori promet de continuer son histoire et j’ai envie de dire encore heureux, parce qu’en fait rien n’est vraiment conclu ici. Deux combats sont menés en parallèle, sauver Yuka et sauver Nakum, le roi actuel des Homo-sapiens. Il va falloir faire des choix. J’aim beaucoup aimé ces deux tableaux, qui offres de beaux combats et des dénouements totalement différents, remplis d’émotion dans les deux cas. D’un côté un combat en un contre un avec un Taiga en véritable guerrier, de l’autre un combat plutôt collectif.

Au travers de ces combats, les personnages se révèlent tour à tour près à donner leur vie pour leur village. Ren, Arata ou encore Nakum font preuve de beaucoup de courage et Taiga qui va devoir lui aussi endossé un nouveau rôle. La deuxième partie s’annonce ainsi assez excitante, en espérant la voir assez vite, sachant que le rythme Japonais a été atteint avec ce onzième tome.