Japan Expo 19e impact - Nos impressions

Tradition oblige, Ka-chan, Equinoxe et Blackiruah vous présentent leur compte rendu de la japan expo !

Cette année, la convention a 19 ans (d’ailleurs, on a hâte de fêter leur 20 ans) et se tenait au parc des expositions de Villepinte du 5 au 8 juillet. Après des heures de marche et d'activités, Ka-chan, Equinoxe et Blackiruah vous partagent ainsi leurs différentes expériences de cette dernière édition.

Equinoxe & Ka-Chan

Comme de coutume, nous avons pu y retrouver les espaces habituels : éditeurs, tradition, créateurs, goodies, jeux vidéo, web série, dédicaces, nourriture, fanzine, cosplay, sport, etc. La diversité et le nombre des stands proposés font vraiment la force de cette convention. Les habitués remarqueront que chaque espace garde généralement le même emplacement d’une année sur l’autre dans les halls du parc des expositions. Mais pour ce 19e impact, il y a eu quelques exceptions avec l’ouverture d’un nouveau hall, qui s’est notamment vu attribuer l’espace sport et web séries. Nous avons trouvé l’espace plus calme et plus adapté à des présentations sportives type tir à l’arc qui ont pu bénéficier d’un espace suffisamment grand et sécurisé pour leurs démonstrations. Cependant ce nouveau hall et ses activités n’ont malheureusement pas pu bénéficier de toute l’affluence des visiteurs présents dans les halls principaux.

Notre petit coup de cœur à l’intérieur de ce nouvel espace : une réplique en lego du fameux château de Poudlard avec plein de clins d'œil et de scénettes représentatives de différents passages de la série.


La section fanzine nous a semblé plus grande qu’à l’accoutumée et nous avons eu plaisir à en arpenter les allées pour y découvrir ou redécouvrir un grand nombre d’artistes talentueux !

Le petit coup de cœur de Ka-chan :

« Tout au bout d'une des allées de la section fanzine, se trouvait un petit stand tenu par une artiste japonaise où j'ai pu recevoir une jolie pose de vernis, couleur galaxie ! L’artiste y était chaleureuse et talentueuse, pour 10€ et en 30minutes, nos 10 doigts étaient soigneusement habillés de jolis design. J’espère qu’elle arrivera à réaliser son rêve d’ouvrir un salon à Paris. »
La section, jeunes créateurs, secteur préféré d’Equinoxe (et de loin) a été plus décevante. La déception n’avait rien à voir avec la qualité des stands proposés (le porte-monnaie d’Equinoxe le confirme) mais contrairement à la partie fanzine les allées semblaient plus petites et le nombre d’exposants réduit.

Le petit coup de cœur d’Equinoxe :

« J’aimerais mettre à l’honneur le stand d’une jeune créatrice qui a été la première à me faire craquer lors de notre première journée de salon. Il s’agît de : Melledenevers, une créatrice qui propose de nombreux bijoux oniriques et délicats, le plus souvent agrémentés de cristaux et de reproductions d’ailes de papillons ! Il y avait également une partie de ce stand consacré aux créations textiles, toujours sur le thème du papillon. Et oui, j’ai définitivement acheté une jupe papillon que j’ai eu la joie de porter le lendemain à la japan expo ! »
La section cosplay, qui comporte des stands de vente de patrons, de vente de matériels pour cosplay, d’espaces rencontres/dédicaces avec des cosplayeurs, des stands d’expositions de nombreux costumes, proposait aussi un certain nombre d’ateliers découverte autour de la création de tenue et de make-up.

Kachan et Equinoxe ont testé pour vous l’atelier initiation au maquillage FX animé par Edes sur le stand Polymorphe Studio. Le thème de l’atelier était la démonstration, puis la réalisation d’une brûlure réaliste grâce à l’utilisation du latex naturel, du coton et des fards à alcool. Cet atelier nous a permis de découvrir, qu’avec peu de matériel, il est possible de réaliser des maquillages convaincants et débuter dans cet art pouvait être accessible à tous ! Bien sûr si l’aventure vous tente il vous faudra de la patience et de l'entraînement pour réaliser les maquillages les plus complexes. Mais Ka-chan, qui n’avait jamais pratiqué le maquillage FX, a pu réaliser une très belle brûlure sur la cobaye Equinoxe (qui n’a pas été maltraitée durant cet atelier). Les ateliers de ce genre sont vraiment intéressants et rendent la convention plus dynamique, on aimerait vraiment qu’il y ait plus d’occasions comme celle-ci d’échanger et d’apprendre de nouvelles choses !

Dans la partie éditeurs, nous allons nous tourner vers Kana qui proposait un concours afin de permettre à 10 personnes de rencontrer l’un de leurs auteurs : Atsushi Ohkubo (Fire Force, Soul Eater), lors d’une rencontre/échange d’une heure avec dédicace. Ka-chan a pu participer à cette rencontre, car elle a eu la chance de gagner l’une de ces places. Cependant, elle en garde un souvenir un peu mitigé, surtout vis-à-vis de l’organisation et de l’incompréhension entre la japan expo et l’éditeur. En effet l'organisateur Japan expo, lui-même, a vampirisé l’événement organisé par Kana en réalisant également de son côté le tirage au sort pour ce même concours. L’éditeur et la japan expo se sont donc rendu compte à l’instant même de la rencontre qu’il y avait alors 20 gagnants au lieu de 10. Et l’évènement d’une heure à 10 s’est transformé en 2 fois 30 minutes à 15 à la dernière minute. A cause de ça, il n’y a pas eu de dédicace personnalisée (faute de temps), mais il y a quand même eu une jolie rencontre avec un auteur sympathique et un peu réservé.
La journée du samedi rime toujours avec : salle Ichigo ! Ka-chan et Equinoxe y ont passé une bonne partie de l’après-midi pour y admirer spectacles, défilés et finale de l’ECG !

Le premier défilé : Japan style collection regroupait des créations vintage, dark, girly et street par les créateurs et marques japonaises : baby shoop – street style et inspiration des tendances américaines, midnight dreamy secret – concept geek & dark, poupee – avec pour concept « ressembler à une poupée à la Française » et violetta – pour un style élégant et vintage.

Le deuxième défilé, celui de refashion caravan dont le concept est de récupérer et moderniser d’anciens kimonos a été absolument magnifique. Il s’agissait plus d’un spectacle qui se partageait entre le défilé, la danse, la démonstration de sabre et la musique !

Une fois les deux défilés finis la scène Ichigo a été investie par les rythmes des taiko de Satsumasendai Odori-daiko. Cette troupe est composée de jeunes musiciennes qui manient des taiko, des tambours japonais avec rythme et talent.

La troupe faisait aussi d'autres représentations sur différentes scènes !


Avant de quitter la scène pour recommencer à s’user les pieds dans les allées, il nous restait à assister à l’event le plus attendu des cosplayeurs, la finale de l’ECG saison 8 !
Pour resituer un peu, l’ECG, european cosplay gathering, est un grand concours européen de cosplay qui regroupe des cosplayeurs de 14 pays différents ! Chaque pays y présente un cosplayeur solo et une équipe de cosplayeurs. Un jury reconnu juge les costumes de chaque participant puis note leur présentation/mise en scène qui a lieu devant le public de la japan expo lors de la finale du concours.
Et voici les résultats de cette saison, félicitations à tous !

 

 

Dans la catégorie solo :

  • 1re : la Pologne avec Luiza en costume d'Overwatch
  • 2e : l'Allemagne avec PandoraCos dans un costume de Vaiana
  • 3e : la Suisse avec Cide dans un costume de Vikings

Dans la catégorie groupe :

  • 1re : la République Tchèque avec Ali, Germia et Ketrin dans des costumes de SMITE
  • 2e : l'Allemagne avec Shiroku et Chiko Chan dans des costumes de Fate Grand Order
  • 3e : la Suisse avec Syf et Ailyta dans des costumes de The Witcher 3

Niveau nourriture, nous avons observé la prolifération des stands d'onigiri (pour notre plus grand plaisir). Par contre, les autres types de plats sont un peu en retrait et pas assez présents pour ceux qui se lasseraient de manger du thon et du riz (=Equinoxe). Le plus frustrant pour certains (=Equinoxe encore) étant la quasi absence de stands de nourriture sucré, hormis quelques glaces et les classiques muffins/cookies pas très japonais, il y avait tout de même un merveilleux stand de taiyaki pouvant se manger salé, sucré et au nutellaaaaaaaaaaaaa qui a sauvé l’estomac de certaines !

Pour finir les aventures d’Equinoxe & Ka-chan, l’activité coup de cœur : un petit atelier de création de fleurs kanzashi proposé par l’un des jolis stands japonais de la zone tradition. À notre disposition, barrette, tissus colorés et perles de couleur variées. En quelques minutes le bijou était né. Outre les nombreux artisans incroyables (bijoux en porcelaine, oiseaux en feutre, bijoux en tissu) nous avons tout de même été un peu été déçues par le surnombre de stands dédiés à la calligraphie qui se parasitaient l’un l’autre ! cependant pas de quoi gâcher ce magnifique espace qui mérite vraiment d’être visité !

 

Blackiruah

Après ce petit voyage partagé par Equinoxe et Ka-chan, je vais revenir un peu plus sur ce qui m’intéresse le plus dans la JE : les mangas.

L’année dernière, je disais précisément :

Je me suis demandé si la JE commençait à négliger la partie manga puisqu’on trouvait majoritairement des auteurs français (pas forcément de mangas d’ailleurs) sur le salon. Or je ne connais pas vraiment ces fameux auteurs (hors Shonen et Reno que j’apprécie amplement). Voilà donc l’occasion de parfaire ma connaissance et de voir ce que vaut vraiment la scène manga […].

En réalité, il semblait que l’édition 2017 fut une année de transition, car le salon a complètement basculé dans la scène manga française. Ainsi, grand nombre d’éditeurs propose dorénavant leur(s) manga(s) français et profite du salon pour inviter ces auteurs (après tout ça serait bête de ne pas en profiter).

Dans ce contexte, j’ai pu découvrir Romain Lemaire (le cousin de Reno) venu pour la sortie de son manga everdark, artiste très sympatique et de talent, qui réalisait des dédicaces tous les après midi (il faut croire que c’est une habitude de famille), avec qui on a pu échanger sur notre passion des mangas, son parcours, ses inspirations. Bref, une très belle rencontre, instructive et enrichissante qui ne m’a pas fait regretter l’achat de son premier volume. Bien sûr, un instant dessin pointera son nez bientôt !

Je reste toutefois un peu circonspect par le peu de mangakas invités par le salon, bien sûr, j’ai regretté la non venue de Buichi Terasawa, mais sans aller jusque là, j’aurais aimé voir un Yusuke Murata (One Punch Man), Kouhei Horikoshi (My Hero Academia), Toyotaro (Dragon Ball Super) ou encore bien d’autres. Reste que les éditeurs ont fait un bel effort avec Atsushi Ohkubo comme évoqué plus haut, Yoshitoki Oima (To your eternity), Itsuki Kameya (Final Fantasy lost stranger) et bien sûr Nicke (Beyond the clouds) que nous avons pu rencontrer avec une interview à la clé.

Pour le reste, la formule Japan Expo est toujours la même, toujours aussi efficace. Malgré une perte en qualité dans les invités du salon (et pas uniquement en manga), le salon reste toujours un plaisir certain permettant de découvrir de nouveaux aspects de la culture japonaise et de rencontrer aussi des auteurs de ce médium qui nous tient tous à coeur. Rendez-vous incontournable mais espérons une 20ème édition tout feu tout flamme à la hauteur de cet évènement !

Et pour finir, on conclut sur une tradition, la Japan Expo est synonyme de cauchemar pour mon porte monnaie, voilà pourquoi :

 

Adios senor porte monnaie, je t'aimais bien pourtant....

A l'année prochaine et bien sûr, n'hésitez pas à partager vos impressions sur cette nouvelle édition de la Japan Expo !

Blackiruah

Commentaires (8)
  • Tori
    Tori
    Staff

    Ça s'est déjà fait (peut-être pas à JE, mais à d'autres conventions, oui), ainsi que des messages ou interviews enregistrés (pas d'interactivité). Le truc, c'est que la présence d'un auteur attire plus de monde qu'une visio-conférence (dans un cas, tu peux caresser l'espoir d'avoir une dédicace voire une poignée de main ou une photo avec la personne en question… Dans l'autre non (à la limite un autographe à gagner, mais pas une vraie dédicace, puisque préparé avant de savoir pour qui (et ton idée de dédicace à distance ne vaut pas une vraie dédicace unique))...)… Ah, et une visio-conférence doit tenir compte du décalage horaire, aussi.

  • Willos
    Willos
    Membre

    Merci pour vos impressions. J'ai une question qui ne s'adresse pas spécialement à vous mais bon, considérant le coût d'inviter un auteur japonais, y a pas un éditeur qui aurait l'idée de faire simplement une visioconférence sur son stand ? Enfin ça s'est peut-être déjà fait ? Hormis la séance de dédicace, y a pas réellement besoin de la présence physique de l'auteur (surtout si c'est pour 20 personnes). Et avec la technologie actuelle, peut-être que l'auteur pourrait même faire ses dédicaces à distance, avec une palette graphique et ça imprimerait directement sur le stand.

  • Tori
    Tori
    Staff

    J'ai encore chez moi le livret du visiteur de la première édition (en 2000), où ils expliquent le nom Japan Expo. La première convention appelée Japan Expo a eu lieu en 2000, ce qui fait donc bien 18 ans. La première édition (1er impact), en juin 2000 était un partenariat JADe et Épitanime. La deuxième édition (2ème impact), JADe s'était rapproché du Salon ISC de l'Imaginaire, à l'Espace Champerret, en décembre 2000 (les deux premiers impacts ont donc eu lieu la même année). La troisième édition (3ème impact) a eu lieu en juin/juillet 2001 à l'espace Austerlitz (où l'on crevait de chaud, au passage)... Notez que les noms comportant les impacts n'apparaissent qu'à partir du troisième. Ah, et de quoi illustrer mes propos : Les trois premières éditions : L'explication du nom :

  • Alexielios
    Alexielios
    Membre

    La partie jeux vidéo était toujours aussi importante ? Et la section jeunes créateurs est peut-être moins fournie à cause du tarif d'entrée. J'avais cru comprendre que le prix de participation ne faisait que monter et beaucoup ne trouvaient plus ça rentable, surtout quand ils avaient déjà une fanbase.

  • yaku
    yaku
    Membre

    En réalité, le tout premier Japan Expo a eu lieu en 1999, mais ne portait pas encore ce nom ; le premier salon à s'appeler Japan Expo date de 2000, mais reste dans la continuité de celui de 1999. En revanche, il n'y a pas eu d'édition en 2005. Du coup, le salon fêtera bien sa 20ème édition l'année prochaine. (tout comme ses 20 ans, d'ailleurs).

  • laveur
    laveur
    Membre

    Pour ceux qui ne sauraient pas compter, si la première année est en 2000, ça fait bien la 19ème édition (2000 la première, 2001 la seconde, 2002 la troisième et ainsi de suite jusqu'à 2018 la 19ème).

  • EclairNoir
    EclairNoir
    Membre

    Par rapport à l'age du festival c'est vrai que c'est étrange, sur leur site ils disent que c'est "en 2000 [que] naît Japan Expo", du coup effectivement le festival n'aurait que 18 ans. Mais ça me paraît bizarre qu'ils se trompent sur un truc aussi gros non ? Surtout qu'ils ont annoncé que l'année prochaine ça serait leur 20 ans. Alors j'ai fait quelques recherches parce que j'avais rien à faire xD Et sur la page wikipedia (alors oui je sais pour la fiabilité on repassera), il est noté que la première édition à eu lieu en 1999 à l'institut supérieur du commerce de Paris. Et également que la 2nd édition de 2000 s'appelait le "1er Impact" alors que la 3eme édition en 2001 était intitulé "3e Impact", du coup ils ont zappé le "2nd Impact" pour évité un décalage. Et sinon j'ai aussi trouver plein d'article qui disent que le festival date de 1999. Mais bon vu que eux même sur leur site disent qu'il est né en 2000, qui croire ? Je vous le demande ! ^^

  • Tori
    Tori
    Staff

    "Cette année, la convention a 19 ans" Euh, non : elle a 18 ans : la première édition était en juin 2000... Mais comme Japan Expo fait l'erreur tous les ans... J'ai trouvé, moi aussi, que le hall dédié aux arts martiaux (et autres) était adapté à ceux-ci, mais malheureusement boudé par les spectateurs (un peu trop à l'écart, peut-être). J'ai bien aimé également les réalisations en Légo... Mais aussi la partie ateliers/démonstrations de cosplay et maquillages (c'était aussi développé, les autres années ?), voire bodypaint. J'aurais aimé y participer, mais n'étant là que le dimanche, je n'en avais pas le temps. Comme équinoxe, j'ai trouvé que la profusion d'onigiri (et sans variété pour ceux-ci, en plus) était dommageable. Il y a quelques années, atsu-atsu était partout et on ne trouvait que des takoyaki... Là, je n'ai vu qu'un seul stand qui en proposait (et il n'y en avait plus quand je l'ai trouvé !)... La variété a touit de même augmenté, mais pas suffisamment : c'était clairement dominé par les onigiri thon/mayo et les kara-age... Quand on n'est fan ni de mayo ni de poulet (surtout frit), ça limite vite les choix. Du coup, j'ai pris un hot-dog... Non, je rigole ! Je me demandais ce que faisait un stand de hot-dogs là quand j'ai vu un groupe de personnes s'y arrêter pour en acheter... 6€ pour une saucisse dans du pain avec seulement de la moutarde (ou du ketchup, mais il n'y en avait plus), je trouve que ça faisait un peu cher, en plus, et que ça manquait de condiments... Alors que les stands de nourriture japonaise proposaient des trucs plus originaux et dans des prix comparables. "En réalité, il semblait que l’édition 2017 fut une année de transition, car le salon a complètement basculé dans la scène manga française. Ainsi, grand nombre d’éditeurs propose dorénavant leur(s) manga(s) français et profite du salon pour inviter ces auteurs (après tout ça serait bête de ne pas en profiter)." J'ai fait le même constat... Il faut dire que les éditeurs osent plus facilement proposer des créations européennes (quelques titres à succès les ont aider à prendre un peu plus de risques)... Et inviter des Européens revient bien moins cher que d'inviter des Japonais (et quand il s'agit de créations de l'éditeur français, il n'a pas d'intermédiaire entre l'auteur et lui, en plus : les tractations sont plus faciles)... Bref, les éditeurs auraient tort de s'en priver... Malheureusement, c'est au détriment de la venue d'auteurs japonais (alors que c'est JAPAN expo, quand même...), même s'il y en a tout de même quelques-uns. "Nicke (Beyond the clouds) que nous avons pu rencontrer avec une interview à la clé." Ah, tu me rassures : quand j'ai croisé Ahmed dimanche soir et lui ai demandé comment ça c'était passé, il m'a dit que l'interview n'avait pas eu lieu... J'étais un peu vexé, parce que j'étais sur place et que j'aurais pu m'en occuper si vraiment personne n'était disponible... Mais je suis soulagé de savoir que c'était simplement qu'il n'avait pas les infos les plus récentes ! ~___^ Merci à toi de t'en être chargé, malgré un délai court pour la préparation. Tori.