Lecture en ligne : Vatican Miracle Examiner

En l’occurrence, le contexte se veut ancré dans notre monde avec des éléments fantastiques et il reprend les fonctionnements existants du Vatican. Que tu rajoutes un élément créé de toute pièce et donne une explication cohérente, ok, pas de soucis. Par contre, quand tu reprends une base existante, il faut respecter cette base, sinon ton histoire n'a plus aucun sens. Ici l'oeuvre se veut plus fantastique que fantasy, d'où ma gêne. Le côté complètement fictif n'est pas mis en avant du tout comme dans la fantasy. Ce qui me gêne au sens plus large, c'est plus cette propension qu'ont les œuvres de fictions à représenter de façon faussée les religions existantes (pas spécifiquement une en particulier d'ailleurs). Déjà que les médias s'en donnent à cœur joie et que beaucoup de raccourcis et amalgames sont fait, je trouve ça dommage de créer des œuvres qui se fondent sur les religions sans en respecter un minimum les fondamentaux...

Encore une fois c'est absolument pas choquant ici car c'est Un Vatican totalement fictif. Une brigade de prêtres spéciales pour authentifier les miracles ? o_o ça existe pas, l'auteur a juste pris pour cadre le "vatican" et après il a tout fait à sa sauce. Ce qui m'importe perso si c'est le scénario de l'auteur tient la route, si les éléments qu'il colle entre eux sont crédibles, de même que ses persos. Après, ce que tu peux dire c'est que le fait que tout soit fictif, on perd en réalisme et qu'une personne qui aime la religion catho risque d'y trouver que des défauts.

Ce n'est pas une bonne raison simplement parce que aucun évêque n'aurait ordonné un prêtre qui souhaite devenir prêtre pour un motif pareil (comme apparemment le motif n'est pas un mystère). C'est pas parce qu'on veut être prêtre qu'on le devient. Ensuite, faire 7 ans de séminaire sans avoir la vocation, faut franchement être motivé... Et ce n'est pas parce que tu fais le séminaire que tu seras ordonné. Pour ces raisons, l'oeuvre n'est de base pas crédible deux secondes, même pour une fiction, et ça me bloque franchement... Après, je comprend tout à fait qu'on s'en fiche x)

Bah en même temps, on trouve du pognon chez les catho, surtout au Vatican (la pape dort quand même dans un lit en or tout en œuvrant pour les pauvres), je trouve que c'est une bonne raison pour ma part :p Moi c'est le design et l'accent trop shonen-ai ou fan service dès les premières pages qui me dérangent.

Il n'y a aucune différence déjà ce sont tous des fictions et chaque héro se sert de ce dont il a besoin pour arriver à ses fins Et c'est bien connu c'est l'argent qui fait tourner le monde fiction ou réalité xD.

La différence, c'est l'aspect religieux. Dans les deux autres cas (l'un étant en plus fictif), n'importe quelle raison ne me dérange pas. Dans le cas religieux, quelle que soit la religion quand celle-ci existe et qu'en plus on en reprend le fonctionnement et les dogmes, mettre comme raison l'argent me gène franchement, même si effectivement l'histoire est fictive.

Ou de devenir Hunter pour être médecin. ^^

Pas pire que devenir alchimiste d'état pour sauver son frère xD. Et pourtant ça a donné lieu à un excellent manga comme quoi...

Devenir prêtre pour demander l'appui financier du Vatican pour guérir un membre de sa famille? WTF? C'est la raison la plus bidon et la moins valable du monde... Même si c'est une fiction, ce point décrédibilise totalement l'oeuvre. Bref, ça m'intéressait avant, mais après avoir lu l'extrait, ça ne me donne pas envie. L'idée de base est sympa, mais c'est vraiment exploité n'importe comment.

J'ai apprécié l'animé mais par rapport à lui, je trouve le dessin du manga beaucoup trop doux, à feuilleter quand même à sa sortie.

Ayant lue l'extrait, cela me donne pas du tout envie de le lire. Pourtant, l'animé était pas si mal...

heu..ça ressemble beaucoup à la série the exorcist... :-D

Je ne pensais pas vraiment me le prendre mais encore moinss après avoir vu l'extrait. Je n'ai pas du tout ce style.

Gosh, cela fait encore pluss shonen-ai que l'anime avec ce chara, définitivement sans moi.