Critique Dragon Ball Z - Film 6 - 100.000 guerriers de métal

Sixième film de la franchise Dragon Ball Z et suite plus ou moins directe du cinquième, "100.000 guerriers de métal" aussi connu sous le titre de "Choc ! Les guerriers à la puissance de 10 milliards", est encore aujourd'hui une réalisation qui à bien des égards se révèle une belle réussite.

Réalisé cette fois par Daisuke Nishio, papa du très bon "Le Combat fratricide", ce volet prend le parti pris risqué de ramener sur le devant de la scène le charismatique Cooler, soit le puissant "frère" de Freezer ayant pourtant perdu la vie face à Goku après un combat titanesque sur terre.

Néanmoins, cette fois les hostilités débuteront sur Namek, les habitants de planète étant asservis par le tyran et ses sbires. Goku, Gohan, Krillin, Piccolo et Muten Roshi sont alors dans l'obligation de s'y rendre afin de mettre un terme aux agissements du monstre.

Ainsi, le postulat de départ est certes simple, et contrairement à son prédécesseur cette production plonge directement le fan dans l'action, ceci par le biais d'un premier face à face entre Goku et Cooler. Couronné d'une animation de grande qualité, l'affrontement est explosif, vif et scotche le spectateur à son fauteuil tant les coups sont violents. Certainement l'un des plus beaux parmi les films.

D'un autre côté, le fils et les amis de Goku ne sont pas présents pour rien, chacun combat à sa manière et décoche quelques passages épiques voir parfois drôles. Le tout baignant dans un rythme parfaitement adapté à l'intrigue, qui, peu à peu dévoile des surprises inattendues.

De ce fait, ce sixième opus marque également l'arrivée en bombe de Vegeta, amenant par la même occasion bon nombres de passages mémorables et surtout la mise en place de notre duo préféré : Goku et Vegeta. Les deux faisant équipe pour détruire une menace au visage caché.

L' ensemble gratifié d'un final à la hauteur du reste, et évidemment d'une bande-son tonitruante.

Asagari

Vraisemblablement passionné par le manga mais aussi la culture japonaise depuis mon enfance, je demeure ainsi un féru de la lecture papier au-delà d'un consommateur invétéré de ce genre. Sans réel style favori prédéfini, j'apprécie la majorité des titres car ils sont la recette d'une évasion réussie pour les lecteurs. Une opportunité alors agréable surtout durant des périodes bien sombres comme aujourd'hui.
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