Chronique : Levius T.2
Un tome clairement centré sur l'action, Végéta69 vous raconte
Après un bon premier tome qui posait les bases de cet univers Steampunk, l’arrivée d’un nouveau combattant en fin de tome avait surpris tout le monde en écrasant Hugo, le futur adversaire de Levius.
Dans ce volume, nous retrouvons nos protagonistes Levius et le combattant victorieux dans l’arène qui s’avère être une jeune femme prénommée A.J . Cette dernière dévoile une puissance démentielle au combat mais ne semble plus être en pleine possession de ses moyens. Levius le remarque et souhaite la libérer de l’influence d’Amethyst, l’écurie d’A.J . Seulement cette organisation cache bien d’autres mystères et n’exerce pas simplement la fonction d’une écurie de Boxe mécanique.
Après ces évènements, Levius décide d’aller rencontrer la combattante au siège d’Amethyst avant le combat qui les opposera pour intégrer le niveau 1. Là-bas, il va être accueilli par leur représentant qui va lui révéler les projets de l’organisation.
© 2012 Haruhisa Nakata / SHOGAKUKAN
Ce tome est clairement plus orienté sur l’action, le récit est plus fluide et on ne s’ennuie pas un instant. Les scènes de combats sont d’une rare intensité, amplifiée par le format du manga qui correspond bien au style graphique de Haruhisa NAKATA.
Le titre se révèle être plus riche, l’auteur nous dévoile les autres enjeux des combats de boxe mécanique comme le test d’armes dangereuses sur le ring par exemple. Le mangaka intègre également à son œuvre quelques notions d’humanité. Jusqu’où peut-on réellement aller avant de perdre son humanité ?
Au niveau des personnages, certains se révèlent être intéressants par leur rôle comme les ingénieurs des combattants mais on se concentre essentiellement sur le personnage de Levius. Toujours aussi froid dans ses décisions, il ne perd pas de son intérêt dans ce tome.
© 2012 Haruhisa Nakata / SHOGAKUKAN
La fin du tome va être centrée sur le combat entre Levius et A.J qui commencera de manière fracassante et ne pourra que nous faire trépigner d’impatience en attendant la suite !
A noter la bonne édition de Kana qui nous offre 7 pages couleurs sublimes.
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