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X-Men: Schism Relié – 11 janvier 2012
- Nombre de pages de l'édition imprimée176 pages
- LangueAnglais
- ÉditeurMarvel
- Date de publication11 janvier 2012
- Niveau scolaire8 and up
- Âge de lectureDès 13 ans
- Dimensions19.69 x 1.27 x 28.58 cm
- ISBN-100785156682
- ISBN-13978-0785156680
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Détails sur le produit
- Éditeur : Marvel; 1er édition (11 janvier 2012)
- Langue : Anglais
- Relié : 176 pages
- ISBN-10 : 0785156682
- ISBN-13 : 978-0785156680
- Âge de lecture : Dès 13 ans
- Poids de l'article : 643 g
- Dimensions : 19.69 x 1.27 x 28.58 cm
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Schism est un titre sur l'histoire moderne des X-men et franchement il vaut le détour.
Le tome s'ouvre sur quelques lignes rapides rappelant la situation des X-Men et des mutants : unis en tant que nation sur une île baptisée Utopia au large de San Francisco. De retour d'une bagarre avec probablement des ninjas, Wolverine croise les Lights de Generation Hope , et en particulier Oya (Idie Okonkwo). Il est désarçonné par leur implication dans la défense de la race des mutants. À peine sa tête a-t-elle touché l'oreiller, que Scott Summers lui demande de l'accompagner pour lui servir de garde du corps lors de son allocution aux Nations Unies. Alors que Summers prêche la paix entre les peuples, Kid Omega ( Quentin Quire ) fait irruption et sème la panique. La réaction des Nations ne se fait pas attendre : elles ont recours aux Sentinels. Dans les coulisses, un nouveau Cercle Intérieur du Hellfire Club tire les ficelles.
Après avoir lancé 2 séries de Wolverine ( Weapon X , puis Wolverine ), Jason Aaron se voit confier l'avenir des X-Men par les éditeurs de Marvel Comics. L'objectif : secouer le statu quo pour renouveler la dynamique des nombreuses séries estampillées X-Men. Le titre et la couverture donne le ton : 2 points vus irréconciliables vont conduire à l'affrontement entre Cyclops et Wolverine, ce qui débouchera sur un schisme au sein de la petite communauté des mutants.
Ce tome contient les circonstances qui mènent à l'affrontement, la nature du schisme et le redéploiement des principaux mutants et X-Men pour savoir qui rejoint quel camp (contenu dans l'épisode X-Men regenesis). Les 5 épisodes de la minisérie "Schism" sont écrits par Jason Aaron. Ce dernier utilise un ton très didactique pour exposer les mécanismes de cette scission brutale. Or ce didactisme se fait au dépend du rythme du récit et de la plausibilité des actions. D'un coté Aaron montre bien que ce sont les émotions qui mènent le jeu et que la scission provient essentiellement de ressentis et de convictions antagonistes. De l'autre, les événements qui génèrent la prise de conscience de Wolverine sont décrits d'une manière tellement plate et poussive que le lecteur a du mal à y croire et à s'y investir.
Aaron semble également avoir un peu de mal avec les caractères des personnages. Il commence pourtant plutôt bien avec Scott Summers qui reste un individu stoïque, droit dans ses bottes, investi de lourdes responsabilités et prêt à tous les sacrifices pour atteindre ses objectifs (complètement raccord avec son statut de responsable de la nation X). Par contre, Logan vire sa cuti d'une manière peu convaincante pour finir par réaliser des actions qui laissent rêveur par rapport à sa personnalité de solitaire et de bagarreur. Et l'un comme l'autre finissent par en venir aux mains dans des circonstances complètement délirantes, et impossibles à avaler. Malheureusement le comportement de Logan n'est pas le seul qui fasse tiquer le lecteur : Emma Frost tient des propos peu conformes à sa personnalité, le Doctor Nemesis n'est pas crédible, etc. Mais le pompon revient au nouveau roi noir du club Hellfire. Aaron a recours à un dispositif 100% comics bas de gamme qui exige trop de suspension consentie d'incrédulité. Le personnage qu'il présente (et ses 3 associés) ravale le récit au rang infantile et difficilement supportable. Ce choix jure vraiment de la part d'un scénariste qui cite aussi bien les Who ("Hope I die before I get old" dans "My generation") que Johnny Cash ("I once shot a man just to watch him die" dans "Folsom prison blues").
Le premier épisode est illustré par Carlos Pacheco et encré par Cam Smith dans un style simple, facile à lire et très agréable à l'oeil. Épisode 2, Frank Cho réalise des illustrations dans la continuité de celle de Pacheco, toujours aussi agréable, sans être remarquable. Ce dessinateur est plus à l'aise sur des séries sans superhéros. Épisode 3, Daniel Acuña est toujours aussi impressionnant ; il réalise les dessins et la mise en couleurs (peinture par infographie). Les couleurs forment un ballet pyrotechnique hypnotisant et féérique. Les formes sous-jacentes tendent vers l'épure pour un impact visuel plus immédiat et une évidence efficace. Épisode 4, Alan Davis encré par Mark Farmer a la lourde tâche de montrer Cyclops et Wolverine se battant brutalement entre eux. Le résultat oscille entre le convaincant et l'absurdité inhérente du scénario. Épisode 5, Adam Kubert encré par Mark Roslan revient au style de départ pour des images fonctionnelles qui ne retiennent pas l'attention.
Le tome se clôt par "Regenesis" avec un scénario de Kieron Gillen et des illustrations de Billy Tan. Selon toute vraisemblance les éditeurs et les scénaristes des séries X-Men se sont réunis autour de la table pour décider quel mutant rejoindrait quelle équipe et Gillen n'avait plus qu'à aligner les scènes de personnages choisissant son camp en trouvant des motivations acceptables. L'enfilade de telles scènes finit par lasser, malgré l'artifice peu subtil les liant une à une, avec des dessins encore une fois fonctionnels, mais guère enthousiasmants.
Jason Aaron et son équipe de dessinateurs accomplissent la mission fixée par les responsables éditoriaux dans un assemblage de scènes plus ou moins convaincantes, avec des moments réussis, et des énormités impossibles à avaler.

Commenté en France le 15 janvier 2012
Le tome s'ouvre sur quelques lignes rapides rappelant la situation des X-Men et des mutants : unis en tant que nation sur une île baptisée Utopia au large de San Francisco. De retour d'une bagarre avec probablement des ninjas, Wolverine croise les Lights de [[ASIN:0785152423 Generation Hope]], et en particulier Oya (Idie Okonkwo). Il est désarçonné par leur implication dans la défense de la race des mutants. À peine sa tête a-t-elle touché l'oreiller, que Scott Summers lui demande de l'accompagner pour lui servir de garde du corps lors de son allocution aux Nations Unies. Alors que Summers prêche la paix entre les peuples, Kid Omega ([[ASIN:078513252X Quentin Quire]]) fait irruption et sème la panique. La réaction des Nations ne se fait pas attendre : elles ont recours aux Sentinels. Dans les coulisses, un nouveau Cercle Intérieur du Hellfire Club tire les ficelles.
Après avoir lancé 2 séries de Wolverine ([[ASIN:0785141111 Weapon X]], puis [[ASIN:0785147853 Wolverine]]), Jason Aaron se voit confier l'avenir des X-Men par les éditeurs de Marvel Comics. L'objectif : secouer le statu quo pour renouveler la dynamique des nombreuses séries estampillées X-Men. Le titre et la couverture donne le ton : 2 points vus irréconciliables vont conduire à l'affrontement entre Cyclops et Wolverine, ce qui débouchera sur un schisme au sein de la petite communauté des mutants.
Ce tome contient les circonstances qui mènent à l'affrontement, la nature du schisme et le redéploiement des principaux mutants et X-Men pour savoir qui rejoint quel camp (contenu dans l'épisode X-Men regenesis). Les 5 épisodes de la minisérie "Schism" sont écrits par Jason Aaron. Ce dernier utilise un ton très didactique pour exposer les mécanismes de cette scission brutale. Or ce didactisme se fait au dépend du rythme du récit et de la plausibilité des actions. D'un coté Aaron montre bien que ce sont les émotions qui mènent le jeu et que la scission provient essentiellement de ressentis et de convictions antagonistes. De l'autre, les événements qui génèrent la prise de conscience de Wolverine sont décrits d'une manière tellement plate et poussive que le lecteur a du mal à y croire et à s'y investir.
Aaron semble également avoir un peu de mal avec les caractères des personnages. Il commence pourtant plutôt bien avec Scott Summers qui reste un individu stoïque, droit dans ses bottes, investi de lourdes responsabilités et prêt à tous les sacrifices pour atteindre ses objectifs (complètement raccord avec son statut de responsable de la nation X). Par contre, Logan vire sa cuti d'une manière peu convaincante pour finir par réaliser des actions qui laissent rêveur par rapport à sa personnalité de solitaire et de bagarreur. Et l'un comme l'autre finissent par en venir aux mains dans des circonstances complètement délirantes, et impossibles à avaler. Malheureusement le comportement de Logan n'est pas le seul qui fasse tiquer le lecteur : Emma Frost tient des propos peu conformes à sa personnalité, le Doctor Nemesis n'est pas crédible, etc. Mais le pompon revient au nouveau roi noir du club Hellfire. Aaron a recours à un dispositif 100% comics bas de gamme qui exige trop de suspension consentie d'incrédulité. Le personnage qu'il présente (et ses 3 associés) ravale le récit au rang infantile et difficilement supportable. Ce choix jure vraiment de la part d'un scénariste qui cite aussi bien les Who ("Hope I die before I get old" dans "My generation") que Johnny Cash ("I once shot a man just to watch him die" dans "Folsom prison blues").
Le premier épisode est illustré par Carlos Pacheco et encré par Cam Smith dans un style simple, facile à lire et très agréable à l'oeil. Épisode 2, Frank Cho réalise des illustrations dans la continuité de celle de Pacheco, toujours aussi agréable, sans être remarquable. Ce dessinateur est plus à l'aise sur des séries sans superhéros. Épisode 3, Daniel Acuña est toujours aussi impressionnant ; il réalise les dessins et la mise en couleurs (peinture par infographie). Les couleurs forment un ballet pyrotechnique hypnotisant et féérique. Les formes sous-jacentes tendent vers l'épure pour un impact visuel plus immédiat et une évidence efficace. Épisode 4, Alan Davis encré par Mark Farmer a la lourde tâche de montrer Cyclops et Wolverine se battant brutalement entre eux. Le résultat oscille entre le convaincant et l'absurdité inhérente du scénario. Épisode 5, Adam Kubert encré par Mark Roslan revient au style de départ pour des images fonctionnelles qui ne retiennent pas l'attention.
Le tome se clôt par "Regenesis" avec un scénario de Kieron Gillen et des illustrations de Billy Tan. Selon toute vraisemblance les éditeurs et les scénaristes des séries X-Men se sont réunis autour de la table pour décider quel mutant rejoindrait quelle équipe et Gillen n'avait plus qu'à aligner les scènes de personnages choisissant son camp en trouvant des motivations acceptables. L'enfilade de telles scènes finit par lasser, malgré l'artifice peu subtil les liant une à une, avec des dessins encore une fois fonctionnels, mais guère enthousiasmants.
Jason Aaron et son équipe de dessinateurs accomplissent la mission fixée par les responsables éditoriaux dans un assemblage de scènes plus ou moins convaincantes, avec des moments réussis, et des énormités impossibles à avaler.




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The main selling point of Schism is that we're going to see a fight between Wolverine and Cyclops, but the series does so much more than just that. We have brilliant character arcs for not just those two characters, but many more, including a new focus on Idie, one of the members of Generation Hope.
We're also given the return of Quentin Quire from Grant Morrison's New X-Men as well as being given a new villain in Kade Kilgore, who would become the leader of a new Hellfire Club.
The act itself that breaks apart Scott and Logan winds up being something entirely believable, and something longtime X-Men readers can agree makes sense. (SPOILERS) Logan is fed up with Scott treating all of the young mutants like cannon fodder rather than training them and raising them into adults. This, of course, it what leads to Logan oppening up a new mutant academy where he will train the next generation of mutants to become our next X-Men (this is the "back to their roots" part I'm talking about from the title of the review). Scott, meanwhile, goes on to stay at Utopia and form an elite squad of the strongest mutants including himself, Namor, Magneto, Emma Frost, and Hope Summers among others.
Overall, this is a fantastic jumping on point for new readers who've been wanting in on the X-Men franchise, and it's also a great story for seasoned X-Fans. This series leads into the "Regenesis" era of X-Men which follows Wolverine and his Gold Team in Wolverine and the X-Men, Uncanny X-Force, X-Factor, and X-Men Legacy, and then Cyclops with his Blue Team in Uncanny X-Men, X-Men, New Mutants, and Generation Hope.
I must, however, mention the art in this book is not consistent. Not for a bad reason, but this series had a different artist covering each issue of the series, so if you go in without that knowledge the changes between each issue can be a bit jarring. Each artist is very capable in their own right, so there's nothing to worry about.



Bonus: cover gallery with variants and promotional artwork
As a long time reader of the X-Men I was very skeptical about the Schism / Regenisis relaunch of the series. I was more than a little angry at Marvel for even thinking about stopping the Uncanny X-Men and starting something else with a number one in order to boost sales a la DC's New 52. I was wrong, way wrong.
Schism is the tale of the two very different philosophies at the heart of both Charles Xavier's dream of the X-men: one a warrior ethic fighting to save mutantkind and two the spirit of working on educating mutants and men alike for a brighter tomorrow. The fantastic plot of Schism 1-5 exposes the limitations of mutantkind living together in the island compound of Utopia under Cyclops' leadership (I'm going to be bare bones on details, because this is a must-buy comic).
Schism / Regenisis works because it is organic and inherent within the characters of the X-Men. There is no wiping the slate clean, rather the characters with the full weight of their emotional baggage much choose with which part of Xavier's dream they are more aligned. The Regenisis issue captures many characters motivations for following one of two leaders of the X-Men.
This graphic novel is perfect for x-fans new and old. New x-fans will find the starting place for two promising series (X-Men and the new Wolverine and the X-Men). For new fans Schism will provide all the backstory they need for the X-teams split and their different approaches to following xavier's dream. For old fans, Schism offers a rich story steeped in the history of many characters and raw with emotion. For this X-fan, I couldn't be more excited by where the new team is relocating: it feels like coming home after a very long time!
Overall, this graphic novel is certainly one of the strongest and most engrossing stories I've read in a long time--and I've read a lot of X-Men stories: no qualms with recommending this issue to everyone.

The story is well plotted and well written. Aaron's dialog is a breeze to read and loaded with emotional impact. You get Aaron's typical mix of meaningful story with great wit. The art is the only weak point. Pacheco, who I normally love, was a bit weak for this one. It is not bad by any means, but sub par for him. Kubert has some solid work and does a fantastic job for the final issue. Frank Cho's work is pretty bad.
This, to me, is a no brainer. Great story that finally addresses some building issues, some good art and its a pivotal moment in the X-Men Universe.
Generation Hope issues are not included.