Critique Kiss him, not me 7
Alléluia, on est heureux de constater que Shina et Sae se sont réconciliées et repartent illico presto dans un autre de leurs délires d’otaku sévèrement atteintes. Elles décident donc d'organiser un pèlerinage afin de rendre hommage à celui qui a inspiré leur personnage préféré. Bien sûr, les garçons seront de nouveau de la partie refusant de laisser Shina une chance de leur piquer Sae. On reste donc encore et toujours dans le même schéma narratif qui devient lassant à l'excès laissant penser que l’auteure n’a absolument aucune inspiration.
On a donc toujours l'impression de repartir à la case de départ rendant les courtisans ridicules de part leurs entêtements ; après deux énormes râteaux, ils n’ont toujours pas compris que Sae n'était pas intéressée d'ailleurs on se demande même si elle en a quelque chose a faire de leur amitié puisqu'ils ne font que la suivre dans ses délires se contentant d’une ou deux gentilles paroles et reste dans son délire d’otaku rarement fujoshi pour vous dire à quel point le scénario est pauvre…
Bref, nous voilà embarqué dans cette nouvelle aventure. Après quelques délires très discrets, il y aura tout de même un événement qui viendra chambouler la miss. J'ai envie de dire « bin, ce n’est pas trop tôt » car il aura fallu pas moins de sept tomes pour que Sae daigne enfin s'intéresser au sexe opposé du monde réel. Cependant, les lectrices n'auront pas trop le temps de se réjouir puisque la suite débouchera sur un passage délirant assez kitsh qui n'a rien de drôle à mon sens. En plus, l’auteure a la fâcheuse tendance à vouloir opérer des rapprochements de tous les courtisans à la fois ne laissant jamais l'occasion à l’un de se démarquer réellement.
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